22/05/2022

Les élus socialistes du 16ème témoignent de "la violence verbale de Claude Goasguen"

Réaction des élus socialistes du 16ème (transmise par Annie Novelli, candidate PS sur la 14ème circonscrition) suite à l'altercation rue de l'Annonciation :

« Une violente altercation a eu lieu 20 Mai au Marché de Passy entre Claude Goasguen et ses partisans d’une part, et un partisan de David Alphand candidat dissident de l’UMP, d’autre part, à l’occasion de la campagne des législatives.
Nous connaissons la violence verbale de Claude Goasguen dont nous avons pu nous-mêmes être l’objet en Conseil d’arrondissement.
Nous regrettons que des invectives puissent s’exercer également dans la rue entre candidats, loin de la retenue et de la sérénité que doivent montrer les élus respectueux de la vie démocratique. »
 
Jean-Yves Mano Adjoint au Maire de Paris en charge du Logement - Conseiller d'Arrondissement
Thomas Lauret - Conseiller d'Arrondissement
Ghislaine Salmat - Conseillère d'arrondissement

07/04/2022

Agressions: 4 adolescentes soupçonnées

Illustration des problèmes d'insécurité dans le sud de l'arrondissement, en l'occurrence du phénomène des "bandes de filles" évoqué lors du dernier conseil de quartier Auteuil Sud :

AFP 07/04/ 

Quatre adolescentes de 15 et 16 ans, soupçonnées d'avoir commis plusieurs agressions à l'arme blanche dans le XVIe arrondissement de Paris, ont été placées dans un centre éducatif fermé par un juge des enfants, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire.

Ces quatre mineures sont soupçonnées d'avoir commis cinq vols au préjudice de sept victimes dans le XVIe arrondissement de Paris et à la station de métro Michel-Ange-Auteuil entre le 17 et le 31 mars.

Selon les enquêteurs, ces mineures agressaient "sous la menace d'un couteau ou d'un cutter des jeunes filles choisies au hasard pour leur voler leur téléphone portable ou des effets personnels qu'elles revendaient ensuite".

Pour la seule journée du 31 mars, elles sont soupçonnées d'avoir agressé cinq personnes "en une heure et demi".

"Une des victimes présente une incapacité totale de travail de 4 jours à la suite de coups portés par les délinquantes" présumées, a-t-on précisé de source judiciaire. Les quatre jeunes filles ont été placées en centre éducatif fermé par un juge des enfants.