19/12/2021

Le tribunal administratif de Paris annule le permis de démolition reconstruction du stade Jean Bouin

Message d'Yves Hervouët des Forges, adjoint aux sport du 16ème arrondissement :

Le Tribunal administratif de Paris à décider aujourd'hui d'annuler les délibérations du Conseil de Paris concernant la destruction - reconstruction du stade Jean Bouin (02/2007).

La Ville de Paris fait appel.

Les attendus ne sont pas que de pur forme et c'est une excellente nouvelle pour tous les défenseurs de ce site omnisports, essentiel de notre arrondissement. 

Après le communiqué de la Ville de Paris reconnaissant que le début des travaux ne pourraient être effectif avant la fin juin , c'est une nouvelle victoire du bon sens.

Mais le combat n'est pas terminé et il faudra savoir rester mobilisé en .

 

Suis un communiqué de Claude Goasguen, Maire du 16ème arrondissement :

COMMUNIQUE DE PRESSE

de

 

Claude GOASGUEN

Ancien Ministre

Député Maire du 16ème arrondissement

 

 

Stade Jean Bouin :

 

Claude Goasguen demande à B. Delanoë d’abandonner son projet

 

 

Bertrand Delanoë est une fois de plus rappelé à l’ordre alors qu’il persévère dans son erreur de vouloir imposer un stade de 20.000 places, dévolu au sport professionnel, en lieu et place du stade omni sport Jean Bouin utilisé par les scolaires et les associations sportives.

 

Après la mobilisation de toutes les associations de parents d’élèves, des enseignants d’EPS, des associations sportives,

 

Après l’éclatement de sa majorité depuis le ralliement des Verts et du Modem à la défense du Stade Jean Bouin dans sa structure actuelle,

 

Bertrand Delanoë est sanctionné sur le plan du droit : le Tribunal Administratif de Paris vient de décider d’annuler la délibération du Conseil de Paris du 12 février 2007 qui adoptait le principe de destruction reconstruction du stade Jean Bouin.

 

Dans ces conditions, Claude GOASGUEN, ancien ministre, député maire (UMP) du 16ème arrondissement de Paris, réaffirme son opposition totale et déterminée au projet de destruction reconstruction du stade Jean Bouin.

 

Tant sur le plan juridique que financier, à un moment où les Parisiens ont vu leur feuille d’impôts locaux augmenter de manière démesurée, tout désormais s’oppose à persévérer dans l’erreur.

 

Claude GOASGUEN demande au Maire de Paris de prendre les mesures qui s’imposent pour respecter la décision du Tribunal administratif, et d’acter l’abandon du projet.   

Si le Maire de Paris – comme il semble l’annoncer – devait s’obstiner malgré tout, à l’occasion d’une prochaine séance du Conseil de Paris, à imposer son projet, Claude GOASGUEN fera valoir les droits des scolaires, des associations, et des contribuables parisiens.  

08/12/2021

Jean Bouin : Bernard Debré interpelle la Ministre des sports

Message d'Yves Hervouët des Forges :

Bernard DEBRE, Député et Conseiller de Paris du 16ème arr. a posé une question orale concernant le stade Jean Bouin à Mme Bachelot, Ministre de la Santé de la Jeunesse et des Sports à l'Assemblée nationale, ce jour :

Question orale sans débat

Séance du 8 décembre 2009 

M. Bernard DEBRE attire l'attention de Madame la Ministre de la santé  et des Sports sur l'un des projets pharaoniques de la Mairie de Paris : la destruction du stade Jean Bouin. Le Maire de Paris a en effet souhaité laisser son empreinte dans un arrondissement qui ne lui a jamais été acquis.

Pour ce faire, et malgré une vive opposition des élus et de la population, le Maire de Paris poursuit sa lancée, avec une ardeur et un entêtement qui interdisent toute concertation.

Ce projet a notamment été décrié car dès le commencement des travaux, les 4 500 élèves des lycées et collèges avoisinants devront s'orienter vers d'autres structures beaucoup plus éloignées. Ce préjudice s'accroit encore pour les élèves de terminale qui ne peuvent préparer dans de bonnes conditions les épreuves sportives du baccalauréat. Les habitants, non scolaires, qui régulièrement profitent des installations de ce stade, seront également expulsés d'un stade, en fait, privatisé au seul bénéfice d'un club professionnel.

Au delà  de la période des travaux, cette restructuration aura en effet pour conséquence de consacrer ce stade jadis omnisports, à la seule pratique du Rugby.

Qui plus est, le financement de ce projet interpelle car il sera financé par les Parisiens, un financement de près de 200 millions d'€, la redevance prévue ne finançant que les lourds frais de fonctionnement du stade, bien loin du projet « Paris 2012 » qui emportait l'assentiment général, pour un budget de seulement 40 millions d'€.

Malgré  les interventions des élus, de la population, de la presse, aucun débat ne semble plus envisageable avec le Maire de Paris. C'est la raison pour laquelle, le Député demande à Madame la Ministre quelles mesures le Gouvernement envisage de prendre pour éviter cette gabegie.

Village de Noël au Trocadéro

village-noel-UNE[1].jpgHeureuse initiative que celle de la Mairie d'arrondissement et des conseils de quartier Dauphine et Chaillot d'organiser un village de Noël européen autour des fontaines du Trocadéro ? Le village de Noël -sur un autre thème- de l'année dernière n'avait pas laissé du propre aveux des élus du 16ème et de la population une bonne impression mais celui de cette année nous propose du 10 décembre 2009 au 3 janvier un programme beaucoup plus attractif. Une centaine de chalets accueillent gastronomie et artisanat de la vingtaine de pays représenté ainsi que de nombreuses animations et une patinoire gratuite. Sans oubler le 16 décembre, de 14h00 à 17h00, le désormais traditionnel goûter de noël des conseils de quartier Dauphine et Chaillot.

L'inauguration aura lieu le 10 décembre à partir de 17h00 : 27 enfants représentants les pays de l’Union Européenne avec leurs drapeaux, descendront les escaliers menant de l’esplanade du Trocadéro à la fontaine de Varsovie au son de l’hymne européen. La cérémonie d’ouverture sera suivie d’un spectacle du Club Olympique de Courbevoie sur la patinoire et de spectacles de danses polonaises et slovaques.

Et parce que noël rime aussi avec solidarité, le 13 décembre venez porter vos jouets au profit de la Croix rouge.

 

par Antoine

30/11/2021

Assemblée générale du collectif de défense du stade Jean Bouin 2 décembre 2009

Pour information :

 

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28/11/2021

ANTA AKHI, Toi mon Frère

Dominique BAIGUINI, conseillère du 16ème arondissement, nous transmet le texte suivant concernant l'association ANTA AKHI France qu'elle soutient :

ANTA AKHI, Toi mon Frère,

 

Ces quelques mots qui résonnent si joliment furent prononcés pour la première fois devant moi il y a presque cinq ans, par l’un de mes amis proches.

L’association Anta Akhi France venait de naître dans le XVIème arrondissement sous l’impulsion de quelques quadras libanais bénévoles et enthousiastes dirigés par Hadi Antoun.

La vocation de cette association caritative (loi 1901) est de lever des fonds afin de financer Anta Akhi Liban.

Cette admirable structure prend en charge de jeunes adultes atteints de maladies mentales, dégénératives ou orphelines et qui ne peuvent pas être pris en charge dans leurs familles.

Le problème du handicap est particulièrement aigu au  Liban car l’Etat n’est pas un état-providence.

C’’est pourquoi, il y a dix-sept ans, une femme remarquable a fait don de sa personne à ces jeunes adultes en créant un “projet de vie“ afin de permettre leur suivi médical et intellectuel.

Assurer leur quotidien, leur apprendre à être en harmonie avec eux-mêmes et leur environnement, sensibiliser les institutions locales tels sont les objectifs d’Yvonne Chami, de son équipe et de ses soutiens.

Ainsi en 2008, 63 jeunes ont été accueillis et suivis au Foyer de Tendresse, à Ballouné.

Dîner de gala, vente aux enchères, chasse au trésor au Musée du Louvre, Anta Akhi France ne manque pas d’idées pour récolter des fonds.

L’an dernier ce sont 76 885 euros qui ont ainsi été transférés à Anta Akhi Liban.

Je suis fière de les soutenir et je vous invite à découvrir leurs actions et à les rejoindre.

Leur soirée de gala annuelle se tiendra le 4 décembre 2009, n’hésitez pas à les contacter :

Anta Akhi France

3 rue Benjamin Franklin

75116 Paris

info@antaakhi.fr

 

par Dominique Baiguini, Conseillère du 16ème

26/11/2021

La vente à la découpe du sud de l'arrondissement continue !

La pression qu'exerce la FFT sur la Ville de Paris pour obtenir la cession du stade Georges Hébert s'intensifie, comme nous le révèle ce matin le quotidien gratuit 20 minutes. Le journal a pu se procurer un cahier des charges au titre on ne peut plus explicite : "Construction d'un nouveau stade sur un site autre que le site originel de Roland-Garros", envoyé à plusieurs maires franciliens.

Il va de soi que l'Hôtel de Ville fera toutes les concessions nécessaires pour conserver à Paris le tournoi de Roland Garros (qui rapporte la bagatelle de 25 millions d'euros chaque année à la toute puissante FFT, qui réclame cependant en plus de la cession du stade 20 millions à la Ville pour y construire un terrain couvert utile deux semaines par an).

Quid des scolaires et des sportifs amateurs qui fréquentent ce stade ? La logique financière et le sport business l'emporteront-ils une fois encore sur l'intérêt général et le sport de proximité ?

Au-delà de toute tendance politique -car il ne faut pas tomber dans le travers de réduire ces questions à un débat politique au sens partisan du terme- comment demander aux habitants du sud de l'arrondissement, plus précisément du quartier Auteuil Sud, voire Auteuil Nord, de se résigner à la vente à la découpe de leurs stades (Jean Bouin, Hébert), leur piscine (Molitor), leur parc (Sainte-Périne), et même une partie de leurs écoles (Maison Blanche) ? Comment vivre dans un quartier où demain il n'y aura plus d'équipement public sportif, culturel ou social ? En somme, un quartier dortoir… et encore dans un calme très relatif avec des matchs et des concerts qui auront lieu presque quotidiennement !

 

Antoine Dufour, Habitant et Conseiller de quartier Auteuil Sud

23/11/2021

Téléthon 2009 dans le 16ème les 4 et 5 décembre prochains

Message de l'OMS du 16ème :

La 23ème édition du Téléthon aura lieu les 04 et 05 décembre prochain.

L'OMS du 16ème et ses partenaires se placent à nouveau cette année au service de la recherche,en organisant avec les  associations sportives et scolaires de l'arrondissement de nombreuses activités.

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'' Soyons nombreux, soyons sport, afin de gagner du terrain contre la maladie ''

16/11/2022

Stade Jean-Bouin : reconstruction possible

AFP 16/11/2009 

La mairie de Paris a annoncé que son projet de construction d'un nouveau stade de rugby de 20.000 places à Jean Bouin (XVIe) avait reçu un avis favorable du commissaire enquêteur, assorti de réserves visant "pour l'essentiel à des adaptations techniques", selon elle.

Le Conseil de Paris sera saisi début de ce rapport et des mesures que la ville prendra pour intégrer les remarques du commissaire enquêteur, a précisé la mairie de Paris dans un communiqué.

Dans son rapport, dressé à l'issue de l'enquête publique ouverte du 7 septembre au 9 octobre, le commissaire enquêteur émet huit réserves et une recommandation, mais celles-ci ne constituent "pas une remise en cause" du projet, a assuré Jacques Monthioux, directeur du Patrimoine et de l'architecture de la ville de Paris.

Les réserves portent notamment sur les autorisations encore à obtenir pour sécuriser le transfert prévu sur d'autre sites des activités sportives (clubs et scolaires) se déroulant actuellement dans les installations qui seront supprimées, sur une étude complémentaire de l'architecte sur les impacts de la surface béton maillé envisagée ou encore sur le financement précis de l'opération. Quant à la recommandation, elle vise à obtenir des "assurances sur la technicité" du projet, a expliqué M. Monthioux.

Dans une déclaration à l'AFP, Claude Goasguen, député-maire UMP du XVIe arrondissement de Paris, a "invité" le maire de Paris, Bertrand Delanoë "à lire toutes les réserves émises" sur ce projet et "à réfléchir aux conséquences financières" d'un tel projet sur le budget des ménages parisiens.

09/11/2022

20ème anniversaire des droits de l'enfant au Centre le Point du Jour

La Mairie du 16ème et le Centre d'animation le Point du Jour, 1-9 rue du Général Malleterre (Métro Porte de St-Cloud) célébrent les 20ans des droits de l'Enfant :

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08/11/2022

Prochains rendez-vous citoyens... et sportifs

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Le Conseil d’arrondissement de ce 9 novembre, à 18h00, risque d’être sportif et pas seulement parce qu’il abordera le renouvellement de la convention d’occupation du Parc des Princes par le PSG (et son actionnaire le groupe Colony Capital) sur fond d’Euro et de rénovation du stade.

Il est regrettable que la retransmission du CA par Internet ne soit encore qu’un vœu (techniquement complexe mais effectivement intéressant) car les vœux déposés par le groupe socialiste relatifs aux conditions d’attribution controversées des places en crèche dans notre arrondissement ainsi que sur le nouveau statut de La Poste (demande d’organisation d’un débat en mairie d’arrondissement et d’un référendum national) risquent de créer une belle mêlée.

Le reste de l’ordre du jour et de l’ordre du jour complémentaire réserve lui aussi quelques belles opportunités de jeux. Une certitude, "va y avoir du sport !".

 

par Antoine

 

A noter que les esprits des joueurs bien échauffés durant la première mi-temps auront bien besoin de la médiation apaisante de Madame Claire BRISSET, Médiatrice de la Ville de Paris lors du CICA qui doit avoir lieu à 19h00 si les diffèrentes équipes sur le terrain ne jouent pas les prolongations…

07/11/2022

Roland Garros : une extension qui pose bien des questions

L'extension de Roland Garros à l'emplacement du Stade Hébert toujours d'actualité selon RMC :

 

Une extension en question

M.M. avec Eric Salliot - RMC.fr, le 07/11/2022

 

Le directeur du tournoi, Gilbert Ysern, menace de quitter la Porte d’Auteuil si les travaux d’extension continuent de traîner. Mais le projet de la FFT provoque l’ire des riverains et des élus locaux.

La France a peur. Quand Gilbert Ysern a lâché la menace d’un départ de Roland-Garros de Paris, les défenseurs du stade de la Porte d’Auteuil ont rué dans les brancards. Quoi ? Roland-Garros loin du microclimat du XVIe arrondissement ? Pas encore mais la Fédération française de tennis y pense. « C’est vrai que l’âme de Roland-Garros est essentielle. Mais vous savez, d’autres tournois du Grand Chelem ont déménagé  avant nous. Il ne faut donc pas se l’interdire », avoue Ysern, boss de Roland-Garros.

Le problème, c’est que le stade actuel est à l’étroit. La Fédération internationale de tennis veut lui imposer une poussée de croissance car les autres tournois du Grand Chelem s’étendent sur une vingtaine d’hectares alors que Roland-Garros ne dépasse pas les huit hectares. La FFT va donc faire construire un nouveau central avec un toit rétractable et deux courts annexes, à 450 mètres de l’emplacement actuel, sur le stade Hébert. Le projet architecturel du Français Marc Mimram a déjà été retenu. C’est là que le bât blesse. Pas question pour la municipalité du XVIe et les riverains de bouter les 4000 scolaires qui utilisent quotidiennement le stade Hébert. « On ne sait pas où mettre les scolaires », avance Claude Goasguen, député maire du XVIe arrondissement. « Le sport professionnel grignote les emplacements trop rares à Paris pour le sport amateur », déplore Sylvain Garrel, président des Verts au Conseil de Paris. Un problème similaire à celui du stade Jean-Bouin, qui doit lui aussi s’agrandir.

Pas touche, donc, au stade Hébert et pas touche au bois de Boulogne, secteur protégé. Sauf pour Goasguen, partisan d’y installer des tribunes modulables en plus d’un agrandissement des gradins du central actuel. « Ce dont ils ont besoin, c’est 20 hectares ils ne trouveront pas ça à Paris, selon Claude Muyard, président de l’association XVIe demain. Cette extension serait seulement de deux hectares. Ça veut dire qu’on arriverait à 10 hectares et que, quelques années plus tard, la FFT demanderait une autre extension. On refuse. »

D’où la menace de délocalisation. Mais où ? Disneyland, à Marne-la-Vallée, ou Sarcelles, qui ont déjà essayé d’accueillir le Grand Prix de France de F1. Mais là on ne peut même pas parler de projet, juste d’embryon de projet. « En banlieue parisienne, beaucoup de secteurs seraient très contents de recevoir un tel tournoi de tennis. Regardez comment le Stade de France a requalifié une zone complètement déshéritée », analyse Garrel. Roland-Garros II à côté de Mickey ou au milieu des barres de Sarcelles, c’est vrai que ça changerait du XVIe arrondissement.

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02/11/2022

Mic Mac à tir Larigot à Jean Bouin ce matin ? (2)

Suite à notre article de ce matin, nos publions la réponse de Monsieur HERVOUËT des FORGES, adjoint au sport du 16ème ainsi que le communiqué AFP de Monsieur LELIEVRE, Président du Paris Jean Bouin :

 

Monsieur Dufour

Je vous confirme ma présence ce matin auprès de Jacques Lelièvre, Président du Paris Jean Bouin et de l'ensemble de ses présidents de sections sportives. Les personnes se sont présentées au nom de la Ville de Paris pour débuter les travaux de séparation des fluides sur le site du stade Jean Bouin, préalable à la destruction d'une partie de ce site pour transformation en stade exclusif de rugby professionnel.
Ils étaient accompagné d'un huissier, ce qui laisse supposer une action en référé de leurs part ...

Il s'agit d'une demande de la Ville qui permettrait de débuter la destruction du stade dès la fin de la concession du site au Paris Jean Bouin, le 20 janvier , c'est à dire je le rappelle en pleine saison sportive et scolaire (cf les problèmes que cela posent).

La demande de l'ensemble des personnes du 16ème arrondissement qui s'interressent à ce dossier a toujours été d'au moins sursoir le début des travaux jusqu'à la fin de la saison 2009- ; (demande explicite par moi-même à Mme Hidalgo le 3 septembre dernier devant 350 personnes à la mairie du XVIème, demande réitéré au maire de Paris lors de son compte-rendu de mandat par des responsables associatifs).

Jacques Lelièvre, Président du Paris Jean Bouin, locataire jusqu'au 20 janvier au titre de la concession, a toujours refusé à la Ville de Paris le début des travaux y compris de séparation des fluides, ce qui objective de fait la séparation du site en deux parties distinctes et souhaitant par ailleurs poursuivre l'ensemble des activités sportives de son club, des sous-concessionnaires et des scolaires utilisateurs quotidiens jusqu'au terme de la concession.

Je rappelle que ce projet de stade de rugby en lieu et place du stade Jean Bouin (sans rapport avec le projet Paris 2012 initial) fait toujours l'objet de contestations y compris juridiques ; alors que le permis de construire n'est pas délivré, que les conclusions de l'enquête publique close le 9 novembre dernier ne sont pas connus et qu'un vote en Conseil de Paris au mois de janvier est encore nécessaire ! Il s'agit donc d'une tentative de passage en force de la Ville de Paris dans un dossier difficile et fortement contesté.

Je ne peux, comme élu local de cet arrondissement, qu'appeler encore une fois le maire de Paris à revoir sa position et à engager une réelle concertation avec les parisiens utilisateurs ... et contribuables.

Avec mes meilleurs salutations

Yves HERVOUET DES FORGES
Adjoint au Maire du 16ème
chargé de la Jeunesse et des Sports

 

Objet : AFP - Jean Bouin: le président du club empêche des agents de la Ville de Paris d'entrer

 OM95 FRS 0413  021109-12h23
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   Jean Bouin: le président du club empêche des agents de la Ville de Paris d'entrer
  
   PARIS, 2 nov 2022 (AFP) - Le président du club omnisports de Paris Jean Bouin Jacques Lelièvre s'est opposé à l'entrée dans le stade de la porte Molitor (Paris, XVIème) d'agents de la mairie de Paris venus faire des travaux de séparation de réseaux, a constaté un journaliste de l'AFP.
   La mairie de Paris, propriétaire du terrain, où elle compte bâtir un nouveau stade de rugby de 20.000 places, auquel s'oppose M. Lelièvre, a annoncé à l'AFP son intention de faire un référé en justice, soulignant que ces travaux étaient faits "en vue du renouvellement de la concession de Jean Bouin le 21 janvier".
   "Je refuse l'entrée de ce stade en ce qui concerne des travaux préalables, je considère que je suis locataire de ce site jusqu'au 20 janvier, et que tous les travaux qui pourraient se produire avant gêneraient l'utilisation du site tel qu'il m'a été octroyé", a déclaré M. Lelièvre à l'un des agents.
   M. Lelièvre a indiqué avoir averti les "différentes autorités de la ville de Paris" et estimé "qu'il n y a absolument aucune urgence" à faire les travaux de séparation des réseaux de gaz, électricité et eau.
   "On subodore que cette nécessité de travaux est faite pour avancer autant que possible la démolition d'un stade (l'actuel stade de rugby doit être rasé) avant même que les recours contre cette démolition soient étudiés et achevés", a-t-il ajouté.
   M. Lelièvre s'est demandé "pourquoi on envisage avec autant d'énergie la démolition de ce site avant même de savoir s'il y aura un permis de construire pour le projet en cours".
   Jean-François Danon, secrétaire général adjoint de la mairie de Paris, a affirmé à l'AFP que les travaux de séparation de réseaux visent "à ce que l'exploitant ait une exploitation sans aucune perturbation".
   Ils visent, selon lui, à ce que "les travaux futurs du stade Jean Bouin, qui ne commencent pas aujourd'hui, puisqu'il n y a pas de permis de construire, ne troublent en rien l'exploitation, et le jeu, le tennis, etc.".
   "C'est un terrain Ville de Paris. Le propriétaire peut pénétrer sur cette parcelle pour y faire des travaux d'intérêt général", a-t-il affirmé, annonçant son intention d'introduire un référé.
   M. Danon a précisé que la délibération du conseil de Paris sur le permis de construire du nouveau stade interviendrait début .
   eb/jmg/jpa
  
AFP

Mic Mac à tir Larigot à Jean Bouin ce matin ? (1)

jb2.jpgOn nous informe que des personnes mandatées par le maire de Paris se sont présentées ce matin au stade Jean Bouin. Qui étaient-elles, que venaient-elles faire nous n’en savons rien. Alerté par une personne proche du dossier nous relayons cette information dont seul Serge Federbusch du site Delanopolis alerté par son "dynamique" ami Jacques Lelièvre, Président du club Jean Bouin, fut témoin.

 

Le "reportage filmé" quasi inaudible pas plus que le billet peu explicatif ne nous éclaire sur les intentions réelles de ses personnes. Regrettable.

 

Une info ? Pour Monsieur Federbusch assurément puisqu’il en fait le sujet d’une note enflammée mais qui pose quand même beaucoup de questions. L’opposition stérile qui confine à l’auto aveuglement n’étant pas la ligne éditoriale de Paris 16info nous ne relayons ce début de sujet que dans l’espoir qu'Yves Hervouët des Forges, adjoint au sport au Maire du 16ème qui était, nous dit-on, également présent ce matin nous en dise un peu plus sur l’identité et la démarche de ses personnes avant de crier au loup !

 

Sans vouloir donner de conseil à "l’Eric Besson" de Monsieur Delanoë son propos serait plus efficace s’il était plus objectif et surtout plus consciencieux dans son traitement de l’information.

 

 

par Antoine

28/10/2022

Jean Vuillermoz, adjoint au sport: "Jean Bouin sera la maison du rugby"

jv.jpgC'est le titre de l'interview sans concession :-) de Jean Vuillermoz, adjoint au maire (de Paris) chargé du sport par le site Paris.fr dont nous vous recommandons la lecture. Une interview même pas signée. Pour mémoire, Monsieur Vuillermoz, élu communiste de Paris est le même qui considérant "que le 16ème a trop de piscine" (deux pour plus de 150 000 habitants et encore Auteuil n'est ouverte que certains jours!) a trouvé très légitime de privatisé Molitor et de faire de cette vénérable piscine municipale, l'une des plus vieille de Paris, l'un des fleurons du Groupe Colony Capital dont l'entrée sera de 60€ par personne et par jour. "Lénine réveille-toi ! Ils sont devenus fous".

 

par Antoine

23/10/2022

"Le projet de nouveau stade Jean Bouin n'est pas le bon"

Interview d'Yves Hervouët des Forges à LaVieimmo.com :

hf.jpg(Lavieimmo.com) - Yves Hervouët des Forges, adjoint au maire du 16ème arrondissement, chargé de la jeunesse et des sports, revient pour LaVieimmo.com sur la manifestation organisée dernier suite à l’annonce par la Mairie de Paris de la démolition/reconstruction du Stade Jean Bouin

LaVieimmo.com : Pour quelle raison avez-vous participé à la manifestation au Stade Jean-Bouin ?

Yves Hervouët des Forges : En tant qu’élu du 16ème arrondissement, j’ai participé à ce rassemblement, aux côté du maire du 16ème, Claude Goasguen, du maire de Boulogne-Billancourt, Pierre-Christophe Baguet, d’élus des Verts, du Modem, de riverains, d’enseignants, de parents d’élèves et d’écoliers, parce que nous pensons que ce projet de nouveau stade de 20 000 places n’est pas le bon. Nous étions d’accord pour le projet de stade qui avait été retenu dans le cadre de la candidature de Paris au Jeux Olympiques de 2012. Un stade de 15 000 places, d’un coût de 40 millions d’euros, permettait de conserver la piste d’athlétisme et le stade de hockey, et ne prévoyait pas de tout détruire. Car contrairement à ce qui a pu être dit, Jean Bouin n’est pas une ruine. Il y a des améliorations à apporter, il faut rénover les tribunes et le gymnase, mais la structure peut-être conservée. Une autre solution serait de faire jouer le Stade Français au Stade Charléty, ou il va évoluer pendant trois saisons pendant les travaux, ou au Parc de princes, qui est un stade dédié, en toute lettre dans la concession, au football et au rugby.

LaVieimmo.com : En quoi le projet retenu par la Mairie de Paris vous pose t-il problème ?

Yves Hervouët des Forges : Premièrement, ce projet nuit au sport scolaire. Le dossier des scolaires a d’ailleurs été traité au dernier moment et aucune solution pérenne ou équivalente n’a réellement été proposée. La mairie annonce que des infrastructures seraient installées à l’Hippodrome d’Auteuil, mais c’est sans compter sur la présence de France Galop 45 jours par an, si jamais ce dossier aboutit en plein Bois de Boulogne, ce qui n'est pas acquis .... Et lorsque l’on fait remarquer que les élèves devront prendre le car, la seule chose que l’on nous rétorque est que cela est le cas dans d’autres arrondissements... Surtout, débuter les travaux en pleine saison sportive et année scolaire, c'est du jamais vu !
Et puis il y a le coût très important, 146 millions d’euros, qui sera à la charge des Parisiens. Sans compter que la facture sera probablement très largement dépassée, d'ors et déjà, elle avoisinerait les 200 millions d’euros sans PPP, tout à la charge des Parisiens. Ce qui ne paraît pas très adapté en période de crise... Autre chose, je ne pense pas que le Stade Français Paris Rugby, contre lequel nous n’avons rien, qui est un club sympathique, ait une moyenne de 20 000 spectateurs lors des matchs de Top 14, on parle plutôt d'une moyenne de 12 000 à 14 000 spectateurs. Et lors des grosses affiches, le club reçoit au Stade de France... Cela ferait 10 matchs par an pour un tel investissement et de telles nuisances ... c'est un mauvais dossier !

LaVieimmo.com : Pensez-vous être toujours en mesure de faire capoter le projet ?

Yves Hervouët des Forges : Lors de la réunion publique du 3 septembre dernier, Anne Hidalgo a présenté la chose comme un projet ficelé et bouclé, alors que ce n’est juridiquement et concrètement pas encore terminé. Je rappelle qu’un recours contre la destruction est en cours et qu’un autre sera déposé afin d’empêcher l’obtention du permis de construire. Au-delà du fond, qui est inacceptable en l'état, les choses se font sans concertation sur la forme, ce qui est quand même particulier alors que nous avons assisté à une complète évolution du projet, en catimini ... et cette évolution ne reçoit visiblement pas l’assentiment des parisiens. Ce type de passage en force est malheureusement assez caractéristique de la manière politique du maire de Paris.

Propos recueillis par Marc Fleury

19/10/2022

Près de 7 000 opposants à la démolition du stade Jean-Bouin ont défilé à Paris

Le Monde consacre (aussi) un article à la manifestation de dernier au Stade Jean Bouin :

Quelque 6 800 personnes ont défilé, 18 octobre, à midi, sur la piste d'athlétisme du stade Jean-Bouin (Paris-16e), menacé de démolition. Armés de pancartes "Sauvons Jean-Bouin", enseignants, écoliers, parents d'élèves des trois fédérations (PEEP, FCPE pour le public et Appel pour l'enseignement privé), riverains et élus municipaux (de l'UMP aux Verts)... s'étaient mobilisés pour "la défense du sport scolaire, amateur et familial".

Construit en 1925, Jean-Bouin est un stade omnisports, avec une large pelouse, une piste d'athlétisme, des terrains de tennis, basket, et trois tribunes pour 9 000 spectateurs. Ce poumon vert du quartier dont la destruction a été votée par le Conseil de Paris, le 18 décembre 2007, doit laisser place à un nouveau stade de 15 000 places dédié au seul rugby professionnel. "Une dentelle de béton qui fait la ola", précise l'architecte Rudy Ricciotti qui en est l'auteur. Haute de 32 m, le long de l'imposant Parc des Princes qui, lui, monte à 48 m, cette ellipse s'abaissera à 17 m, devant l'immeuble classé de Le Corbusier, rue Nungesser-et-Coli.

A la lisière du 16e arrondissement de Paris et de Boulogne (Hauts-de-Seine), l'actuel stade est fréquenté par les 3 000 élèves des trois lycées et collèges voisins - La Fontaine, Claude-Bernard et Jean-Baptiste-Say. Ils seront véhiculés par car vers d'autres terrains sportifs en attendant un hypothétique aménagement de la pelouse de l'hippodrome d'Auteuil.

Le stade Jean-Bouin et ses tribunes à "hublots" sera rasé au profit d'un projet dont le coût est estimé par la mairie à 146 millions d'euros. Les opposants au projet n'ont pas obtenu gain de cause lors d'une délibération lancée à l'initiative des Verts le 29 septembre. Mais tous ne désarment pourtant pas.

Est-il raisonnable, demandent ses détracteurs, que la Ville de Paris finance en totalité une telle somme en pleine crise économique et sociale, pour un usage réservé à un club privé, le Stade-Français-Paris, propriété de Max Guazzini, et à ses seize matchs annuels (13 matchs du Top 14 et trois matchs de la Coupe d'Europe), disputés par une trentaine de joueurs ? "C'est la victoire du sport spectacle contre le sport formateur", s'emporte M. Lelièvre, président du Collectif pour la défense du stade Jean-Bouin omnisports et son environnement, qui réunit une dizaine d'associations de Paris et Boulogne. Ce dernier rappelle qu'une simple rénovation, comme le prévoyait la candidature aux JO de Paris 2012, chiffrée 40 millions d'euros, avait reçu un large accord.

"Nous sommes la seule ville du Top 14 qui n'a pas un stade de rugby digne, avec Clermont-Ferrand", rétorque Bertrand Delanoë, maire de Paris. Pour son entourage, "tous les vingt ans, Paris construit une grande infrastructure sportive. Aujourd'hui, nous avons une équipe de rugby parisienne de très haut niveau. Ce stade est donc l'investissement sportif à privilégier".

Budget "pharaonique"

Sylvain Garel, président du groupe des Verts au conseil de Paris, oppose ce stade au budget "pharaonique" à la prolongation du tramway jusqu'à la porte d'Asnières et dit ne pas comprendre qu'"une mairie de gauche privilégie un complexe sportif d'élite au fin fond du 16e, et non pas une installation sociale dans un des quartiers les plus pauvres". Le député Claude Goasguen, et maire (UMP) du 16e arrondissement, présent à la manifestation, évoque un partenariat public-privé pour le Parc des Princes voisin et s'emporte contre "l'entêtement" du maire.

Grâce aux commerces installés sur 7 000 m2, au parking (500 places) et à la redevance versée par le Stade-Français-Paris, la Ville espère empocher 5 millions d'euros par an : "Le projet sera amorti d'ici vingt ou trente ans. A terme, l'opération sera plus rentable que ne l'est aujourd'hui le Parc des Princes, financé entièrement par la Ville." Les travaux devraient débuter fin février .

Florence Evin et Béatrice Jérome

Nouveau Stade Jean Bouin : 6000 opposants manifestent

Article du Parisien sur la manifestation de au Stade Jean Bouin. 6000 personnes selon les organisateurs, combien selon la police ?

 

jb.jpgPlus de 6 000 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté au stade Jean-Bouin à Paris (XVIe) contre le projet de la mairie de Paris de construire un nouveau stade de rugby de 20 000 places.

Le député-maire UMP du XVIe arrondissement Claude Goasguen, le coprésident du groupe Verts au conseil de Paris Sylvain Garel, des représentants de fédérations sportives et de nombreux parents d'élèves et professeurs d'EPS ont participé à la manifestation organisée par le «collectif pour la défense du stade Jean-Bouin Omnisports et de son environnement».

Ce collectif proteste contre le coût du projet, 146 millions d'euros selon la mairie de Paris, et la délocalisation de 4.500 scolaires en pleine année scolaire ainsi que de 1.500 hockeyeurs et athlètes amateurs qui vont perdre leurs piste d'athlétisme et de hockey

Il est prévu que les scolaires aillent faire du sport à Bagatelle (XVIe) ou au stade Suzanne-Lenglen (XVe), pour un coût de 3 à 4 millions d'euros, selon les chiffres du collectif, citant ceux de la mairie. Le collectif chiffre donc à «plus de 185 millions d'euros» le coût total du projet.

Le Parc et Charléty comme alternatives

Le collectif affirme que d'autres solutions existent, comme la rénovation du stade selon le projet JO-Paris 2012 (15.000 places, 40 millions d'euros), la double utilisation (football et rugby) du Parc des Princes ou le transfert du Stade Français au stade Charléty (XIIIe).

« On ne peut pas virer tout le monde pour trente joueurs de rugby du Stade Français», s'emportait le maire (UMP) de Boulogne-Billancourt, hier dans un entretien au Parisien. Jean-Christophe Baguet s'oppose à d'autres projets de la ville de Paris, et a trouvé pour Jean-Bouin une solidarité d'élu avec Claude Goasguen. 

Au dernier conseil de Paris, la motion des Verts demandant l'abandon du projet n'a été rejetée que de 14 voix (85 voix pour, 71 contre, dont l'UMP, le Nouveau Centre et les Verts).

18/10/2022

Jean Bouin, plus qu'un stade, un enjeu électoral

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LA tribune de Jean Bouin était pleine, mais il n’y avait pas de match aujourd’hui…

 

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L’action se passait d’ailleurs côté spectateurs : les élus de Boulogne et du 16ème, parmi lesquels Claude Goasguen, écharpes au vent, étaient venus haranguer la foule de (leurs ?) supporters.

 

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Les verts très minoritaires (au nombre de trois) ne manquaient cependant pas de répondre aux interviews sous leurs jolis parapluies et drapeaux.

 

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Quant à Hervé Torchet, notre Fox Mulder MoDEm du 16ème, toujours en quête de LA vérité, caméra au poing, il préparait un prochain sujet.

 

 

par Antoine

14/10/2022

Prochain conseil de la Jeunesse du 16ème

conseildelajeunesse.jpg 19 octobre, à 19h00, salle Marie de Régnier, au rez-de-chaussée de la mairie, 71, avenue Henri Martin (Métro Rue de la Pompe). L'ordre du jour se trouve sur le site de la Mairie. La question qui se pose est la suivante, le 16ème aura-t-il des représentants au Conseil de la Jeunesse de Paris ? Et si oui, quand ? A priori pas cette année !

 

par Antoine

11/10/2022

18 octobre manifestation à Jean Bouin

Le collectif Jean Bouin appelle par voie de tract à une manifestation 18 octobre :

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De leur côté, les professeurs d'EPS ont réalisé un petit film pour mobiliser les foules ! 

09/10/2022

Max Guazzini : «Avec Jean-Bouin, on est à la ramasse grave»

Voilà qui ne manquera pas de relancer la polémique, déjà assez vive, Max Guazzini propriétaire du Stade Français a décidé de sortir de son silence et passe à l'offensive au travers de nombreux quotidiens locaux ou parisiens, comme en atteste cette longue interview au journal 20minutes de ce jour :

INTERVIEW - Le patron du Stade Français tape du poing sur la table pour obtenir la rénovation de son stade

L'enquête publique pour la rénovation du Stade Jean Bouin (16e) se termine ce soir. Comment expliquez-vous la polémique autour de ce projet?

Nous sommes dans un débat politique. Ceux qui avaient voté pour la rénovation du stade quand il était dans le projet olympique sont aujourd'hui contre, car ils sont rentrés dans une logique d'opposition politique. Les Verts ont voté pour en 2005 mais ils sont désormais en campagne pour les régionales, et ils se démarquent. Le paradoxe c'est qu'ils retoquent le premier stade écologique de France, qui récupérera les eaux de pluie et produira de l'électricité. Moi je veux bien, mais je ne peux pas être l'otage des politiques. Je pense qu'en matière de sport, on doit dépasser ça. Il y a aussi l'opposition du maire du 16e, qui a toujours été contre tout. Et même le maire de Boulogne s'y met. Mais de quoi il se mèle ? Est ce que la Ville de Paris se mèle de ses affaires? D'ailleurs, pratiquement tous nos joueurs habitent Boulogne. Je suis sidéré. Que les politiques déposent leurs insignes aux portes du stade.

En quoi la rénovation est-elle nécessaire?

Jean Bouin doit être détruit. Le béton est pourri, il s'effrite. II n'y a pas encore de problème de sécurité, mais il y en aura bientôt. Depuis dix ans je me bats pour que le stade soit rénové, car la moitié des places sont à l'air libre. On joue demain contre Edimbourg, et comme chaque semaine on guette la météo en espérant qu'il ne pleuve pas. Le problème de la France c'est que ses stades sont sous équipés. Le Stade Français est quand même à la ramasse grave en matière d'équipement, alors qu'on est cinq fois champions de France en dix ans. Même Toulon a un stade plus grand que nous.

Des riverains sont vent debout contre le projet. Comment l'expliquez vous?

Ils sont désinformés et manipulés. L'emprise du nouveau stade sera la même, il n'y a pas un gros champignon qui va naître dans le quartier. Ce sera simplement joli et fonctionnel. Ce sera un plus pour le quartier, un beau monument urbain au lieu de la ruine actuelle. Jean Bouin va valoriser les appartements qui sont autour. De plus, le rugby n'a jamais été une nuisance pour le quartier. Il n'y a jamais de policiers lorsque l'on joue. Les commerçants de l'arrondissement sont favorables au rugby. Le maire du 16e sous estime beaucoup la popularité de ce sport dans le 16e.

Pourquoi y aurait-il manipulation?

Certains veulent récupérer Jean Bouin pour en faire autre chose. Un grand dôme consacré au tennis par exemple et dans lequel on pourrait faire aussi des concerts, un Bercy bis. Ca, on oublie de le dire aux riverains. Il y a même une opposition des autres utilisateurs du stade. Les gens du Paris Jean Bouin n'ont jamais supporté qu'on y joue. On est tolérés, on n'a jamais été acceptés. Le site de Jean Bouin est confisqué depuis des années par des gens qui en ont fait leur précarré, qui veulent faire leur petit footing ou leur partie de bridge. C'est pourtant le rugby qui amène du monde à Jean Bouin.

Quelles seraient les autre solutions?

Une solution inimaginable serait de détruire Charléty pour en faire un stade de rugby. Mais on ne peut rien toucher du stade actuel, c'est protégé par les droits d'architectes. Si il était possible d'y jouer en l'état, on le ferait, on n'est pas débiles.

Que répondez-vous à ceux qui suggèrent que Bertrand Delanoë vous fait une faveur?

C'est mal connaître Delanoë. La Ville ne fait pas un mauvais investissement car elle se remboursera à long terme sur les loyers, les locaux commerciaux, les parkings, les redevances que nous paierons. De plus la revendication que Jean Bouin soit rénové est antérieure à l'arrivée de Delanoë. Même Sarkozy avait dit qu'il fallait le faire. Ce projet, ce n'est pas une question de personnes, mais si c'est ça la condition pour que le stade se fasse, je suis prêt à démissionner. Je souhaite juste qu'il y ait un stade de rugby à Paris.

Recueilli par Magali Gruet, 20minutes 09/10/09

06/10/2022

Position du MoDem sur le projet Jean Bouin

Communiqué du MoDem à la suite du dernier conseil de Paris relatif au stade Jean Bouin :


Le Mouvement Démocrate de Paris a pris acte des décisions de Bertrand Delanoë concernant le Stade Jean Bouin. Il dénonce le traitement par le mépris des parties en présence, particulièrement les riverains et les scolaires. Il dénonce le dérapage financier qui a conduit un projet qui devait coûter 40 millions d'euros à être évalué, de l'aveu même de la mairie, à plus de 120 millions aujourd'hui. Il dénonce enfin la transformation d'un stade omni-sports en stade réservé exclusivement au rugby professionnel.
Le Mouvement Démocrate de Paris déplore des décisions municipales qui s'appuient sur le reniement de la parole donnée. A témoin, le Musée en herbe, qui n'obtient finalement pas la subvention qui lui avait promise (et votée) à l'issue du récent Conseil de Paris, et ce, en dépit des amicales objurgations des propres alliés de Monsieur Delanoë.

En définitive, le Mouvement Démocrate de Paris ne peut admettre que 8 à 10 matches par an coûtent plus de 120 millions d'euros aux Parisiens quand la municipalité refuse, dans le même temps, de verser 40 000 euros de plus pour plusieurs dizaines de milliers d'entre eux, et augmente taxe d'habitation et taxe foncière dans des proportions déraisonnables.
Il invite donc la majorité municipale à se rendre à la raison en écoutant ce que lui disent les Parisiens et à se montrer plus conciliante avec eux.

Armand Hennon (Président du Mouvement Démocrate de Paris), Béatrice Lecouturier (conseillère du 16ème arrondissement), Robin Delisle (pôle culture et loisirs du Mouvement Démocrate de Paris).

02/10/2022

Désaccord autour du futur stade Jean-Bouin

Le site Paris Dépêches revient sur le débat houleux de en Conseil de Paris et publie une interview de Jacques LELIEVRE, Président du Paris Jean Bouin.

Désaccord autour du futur stade Jean-Bouin (16ème)

Publié le 01/10/2009 Par Paris Dépêches

A l'issue d'un débat animé le 29 septembre, un vote "très serré" s’est joué à la Mairie de Paris à propos de la rénovation du stade Jean-Bouin (16ème). Les résultats du vote (85 voix de la majorité PS-PC-MRC contre 71 voix pour les Verts, l’UMP, le Nouveau Centre et les Indépendants), ont confirmé la poursuite du projet de réhabilitation. Jacques Lelièvre, président du club omnisports de Paris, se bat contre le futur stade porté par le Maire de Paris.

Lire la suite ici.

26/09/2022

Communiqué du MoDem Paris au sujet du stade Jean Bouin

Le Mouvement Démocrate de Paris s'indigne de ce que la municipalité de Paris, en dépit des promesses de Bertrand Delanoë et Pascal Cherki en décembre 2008, entame la reconstruction du stade Jean Bouin sans avoir pris la peine d'aménager au préalable la pelouse d'Auteuil, comme ils s'y étaient engagés. Les élus démocrates avaient fait pourtant de ce préalable une condition sine qua non de leur vote positif. Le Mouvement Démocrate de Paris dénonce la situation indigne faite aux écoles qui utilisaient jusque là le stade Jean Bouin et vont se retrouver déversées dans des conditions intenables pour les enseignants et leurs élèves dans les équipements des 15ème et 17ème arrondissements.
Dans ces conditions, le Mouvement Démocrate de Paris réclame une remise à plat complète du projet, devenu, entre-temps, excessivement coûteux. En temps de crise, il convient de faire preuve de modestie et de pragmatisme.

Le Mouvement Démocrate de Paris s'inquiète de la place que la municipalité accorde à la jeunesse à Paris, puisque progressivement, des espaces de loisirs et de détente lui sont retirés. Il rappelle à cet effet qu'il demeure attaché à la préservation du Musée en Herbe, et s'étonne de la suppression de 11 000 m2 au Jardin d'Acclimatation, en plein Bois de Boulogne, prélevés sur une zone de jeux jusque là consacrée aux enfants.

Pour le Mouvement Démocrate, Marielle de Sarnez, Conseillère de Paris, Béatrice Lecouturier (conseillère du 16ème arrondissement), Armand Hennon, Président du Mouvement Démocrate de Paris, Robin Delisle (pôle culture et loisirs du Mouvement Démocrate).

22/09/2022

Situation de la petite enfance dans notre arrondissement - Pour une plus grande transparence

gs.jpgA la demande de Ghislaine SALMAT, conseillère d'arrondissement (PS) nous publions la tribune suivante. La rédaction de Paris16info invite toutes les personnes qui le souhaiteraient à réagir par commentaire. Par ailleurs, dans un esprit de pluralité et de libre expression citoyenne nous espèrons publier prochainement un droit de réponse de Madame Marie-Thérèse JUNOT, adjointe au Maire du 16ème en charge de la petite enfance.

 

Comme élue de l'opposition, je fais partie à la fois du Comité d'Urgence de la Petite Enfance (CUPE) et de la Commission d'attribution des places en crèche. Après bientôt un an, je souhaitais vous faire part, ainsi qu’aux habitants du 16e arrondissement, d’un rapide bilan.

Tout d'abord, je voulais me féliciter de l'ouverture prochaine de plusieurs crèches dans notre arrondissement :

  • crèche Chaillot (66 berceaux et 20 places de halte garderie)
  • crèche Versailles (60 berceaux)
  • crèche rue Claude Terrasse (23 berceaux)
  • crèche Erlanger (50 berceaux)

Ouvertures auxquelles il faut ajouter celle prochaine de la PMI rue Lauriston.

Malgré ces ouvertures initiées par la Mairie de Paris, nous connaissons un retard phénoménal en la matière, actuellement 500 places environ pour 4000 demandes. Toutes les énergies sont donc nécessaires à l'amélioration de la situation, d'où ma participation à ces commissions.

Les points positifs que je retire de ces commissions sont :

  • L'introduction de la pluralité. C'est une grande nouveauté pour l'arrondissement qui il est vrai n'est pas appliquée partout.
  • Un travail constructif, et des intervenants de qualité au sein du CUPE : Président de la CAF de Paris, Médiatrice de la ville de Paris, associations et entreprises qui ont dans leurs cartons des projets de crèches,....

Des différentes auditions du CUPE, je fais malheureusement le constat suivant : notre arrondissement est devenu un marché très lucratif pour un  certain nombre d'entreprises, compte tenu de son manque crucial de places en crèche. Nous devrions donc voir fleurir les crèches privées. Nous payons ici je dois le reconnaître les délais entre la décision de construction d'une crèche publique et l'ouverture de l'établissement : 3 ans lorsque tout va bien, beaucoup plus lorsque les travaux sont interrompus par des procédures ou par l’occupation de locaux, contre 6 mois pour une crèche privée une fois les locaux trouvés. Peut-être payons-nous aussi le fait que pendant des années le Maire du 16e considérait que les mamans de notre arrondissement ne travaillaient pas ou avaient les moyens de payer une nounou. Difficile alors de faire avancer des dossiers au niveau de le Mairie de Paris. Je me réjouis donc du volontarisme du Maire actuel du 16ème.

En revanche, je ne suis pas aussi satisfaite du fonctionnement de la Commission d’attribution des places en crèche. J’ai participé à 3 de ces commissions, au titre de la pluralité politique.

Pour tout dire, cela ressemble à une commission pluraliste, cela a la couleur d’une commission pluraliste, mais ce n’est nullement à mes yeux une commission dans lesquelles les décisions sont pluralistes.

Je ne reviendrai pas sur les deux premières commissions au cours desquelles nous n'avions qu'un seul nom par place à attribuer. Si la première réunion pouvait être une mise en place, il n’était évidemment pas question pour moi de rester dans une commission où il s’agissait uniquement d’entériner des décisions prises antérieurement.

A ma demande, nous avons donc eu le droit Mme Lecouturier et moi-même d’assister à la véritable commission d’attribution des places en crèches, où sont invitées l’ensemble des directrices de crèches publiques et associatives, des associations, le service social, le médecin de la PMI et la responsable du secteur du 16ème pour la Mairie de Paris. Là encore grosse déception, lorsque je me suis aperçue que les dossiers étaient pré-selectionnés. Si je dois reconnaître une mixité sociale certaine dans les choix opérés, il ne nous a jamais été possible de traiter l’ensemble des dossiers de demande.

Donc pour que les 4000 familles en attente de places en crèches, selon la Mairie, comprennent bien, voici comment les choses se passent :

  • Les services sociaux et le médecin de la PMI soumettent des cas qui sont prioritaires. Ces cas doivent rester de toute évidence prioritaires.
  • Les directrices de crèche ont reçu la plupart des parents et sur cette liste ont retenu quelques noms, envoyés auparavant à Madame Junot, adjointe du 16e en charge de la petite enfance. Madame Junot de son côté a reçu des parents et a également sa liste de quelques noms. Si la directrice et Madame Junot sont d’accord, l’enfant est retenu.
  • Ensuite chacun donne quelques noms de famille avec ses raisons de choix. La plupart du temps l’avis de Madame Junot est accepté. Pour avoir assisté à deux incidents, je peux vous dire qu’il a fallu beaucoup de courage à une directrice de crèche pour refuser un enfant proposé par Madame Junot, alors pourtant que la famille ne s’était même pas déplacé pour rencontrer la directrice de crèche et que cette dernière avait d’autres noms à proposer. Un conseil donc chers parents : rencontrez Madame Junot. Dans le cas contraire, vous aurez peu de chance d’être retenus.

L’arbitrage ne s’est fait en réalité que sur quelques cas et une pré-sélection est donc faite par chacun en amont de cette réunion. Comment s'est faite cette pré-sélection ? Je n’ai aucun doute sur le fait que les personnes retenues aient un besoin crucial de place en crèche. Ayant eu moi-même des difficultés de mode de garde et ayant dû faire appel alternativement à la grand-mère, aux voisines et aux nounous, je connais leurs difficultés. Mais nous avons 4000 familles dans ce cas dans le 16ème et je suis dans cette commission pour m’assurer que toutes les familles seront traitées de façon équitable. De toute évidence, je ne suis pas à même d’en juger n’ayant eu accès à aucune liste de demande avant cette commission et n’y ayant pas eu accès non plus au cours de cette commission.

Je souhaitais donc à très court-terme que les parents, en attente de place en crèche, me le fasse savoir par l’intermédiaire de mon adresse email : g.salmat@gmail.com ou en m’envoyant un courrier à la mairie du 16e arrondissement où je possède une boîte aux lettres, en m’indiquant l’année de naissance de l’enfant et le nom de la ou les crèches demandées, sans entrer nécessairement dans les détails. Je pourrais donc au moins avoir connaissance des demandes et soumettre vos cas lors de la prochaine commission.

Mais il est beaucoup plus important selon moi que la Mairie du 16e adopte une méthode plus transparente d’attribution des places. Lors de la première réunion, j’avais proposé que l’on attribue, comme pour les appels d’offre, un score selon des critères objectifs : revenus, parents isolés, fratrie, reprise d’activité obligatoire,… Critères qui pourraient être définis par consensus et qui tiendraient compte du fait que l’on doivent conserver une mixité sociale. Ensuite pour 10 places proposées dans une crèche, les 20 ou 30 familles qui auraient obtenus les scores les plus élevés pourraient par exemple être proposées, la décision définitive étant alors prise en commission. Cette proposition n’a pas été retenue pour le moment. Mais je ne désespère pas de convaincre Monsieur le Maire, qu’il s’agit de la façon la plus exemplaire de traiter la pénurie. Pour une fois le 16ème arrondissement pourrait être cité en exemple.


Ghislaine Salmat

Conseillère du 16ème arrondissement

15/09/2022

Et les écoles, Monsieur Crèche ?

ubxv4cyc.jpgLes Verts et le syndicat Supap-FSU ont dénoncé, hier, dans un communiqué le non respect de la loi en matière d'amiante par la Ville de Paris. Se fondant sur une information du quotidien Le Parisien, ils relèvent que "près de 420 bâtiments parisiens - dont des crèches, des bibliothèques, des écoles n'ont toujours pas de Dossier Technique Amiante (D.T.A.)." La Ville n'a ainsi pas rempli ses obligations de repérages qui auraient du être achevés en 2005.

Ce communiqué semble avoir fait l’effet d’une bombe y compris chez nos élus du 16ème et provoqué quelques brusques prises de conscience. Ainsi David ALPHAND le nouveau "Monsieur Crèche de la Ville de Paris" annonce aujourd’hui sur son blog dans une note intitulée Crèches parisiennes : attention amiante ! sa volonté d’interpeller le Maire de Paris sur la question en omettant de mentionner, d’ailleurs, que se sont les verts qui viennent de lancer ce pavé dans la marre.

Très bonne initiative quoiqu’un peu opportuniste mais qu’il ne faut pas réduire, cher David, aveuglé par une soudaine passion pour les nourrissons -peut-être annonciatrice d’un heureux événement ?- à la seule question des crèches et des personnels de puériculture. Qu’en est-il en effet des écoles et autres lieux accueillant du public ?

Voilà des années, par exemple, que foule de parents d’élève du 16ème sud s’interrogent avec angoisse sur la présence ou non d’amiante dans les écoles Erlanger et Murat. Il serait bon de les rassurer et de leur apporter une information qui ne peut en effet être délivrée que par les services municipaux pour peu que les élus les y incitent.

 

par Antoine

12/09/2022

Jean Gachassin, Président de la Fédération Française de Tennis menace de délocaliser Roland Garros

Mickey-Garros.jpgLe Président de la Fédération Française de Tennis, Monsieur Jean GACHASSIN, cherche-t-il à faire pression sur l’exécutif parisien en annonçant dans le magazine hebdomadaire le 10 Sport , paru , l’éventualité d’une délocalisation du tournoi de Roland-Garros de l’ouest parisien vers Sarcelles ou Eurodisney ?

Après avoir commandité un concours d’architecture bien prématuré sans même consulté le Conseil de Paris, cette déclaration du président de la FFT n’est certes pas un acte irréfléchi, mais un coup de semonce. Faut-il craindre dès lors comme pour Jean Bouin un passage en force du projet ? Rappelons que comme pour Jean Bouin la construction d’un cours couvert et d’infrastructures commerciales au profit de la FTT sur le domaine public entraînerait la disparition du stade Hébert, un des derniers équipements sportifs de proximité du 16ème sud.

 

par Antoine

06/09/2022

Forum des sports du 16ème au stade Jean Bouin

forum des sports 1.jpg
forum des sports 2.jpg
(Cliquez pour agrandir)

31/07/2022

Jean Bouin en image, merci Madame Hidalgo !

Alors qu’une réunion publique de "concertation" en présence d'Anne Hidalgo, 1ère adjointe au maire de Paris chargée de l'Urbanisme et de l'Architecture, et de Jean Vuillermoz, adjoint au maire de Paris chargé des Sports, est programmée pour le 3 septembre, à 19h00, à la Salle des Fêtes de la Mairie d’arrondissement, il semble que du côté de la Mairie de Paris le projet soit déjà entériné. 

La preuve en image : 
Un nouveau stade Jean-Bouin pour le rugby à Paris
envoyé par AnneHidalgo. - L'info video en direct.

27/07/2022

Mort programmé du Musée en Herbe dans le 16ème ?

Communiqué du MoDem signé par Béatrice Lecouturier, élue du 16ème concernant le Musée en Herbe dont le site principal dans le 16ème au Jardin d'Acclimatation :


Le Mouvement Démocrate de Paris exprime son incompréhension et sa réprobation de la décision de la part de la Ville de Paris de ne pas reconduire de subvention au Musée en Herbe. Après la suppression d’un espace de 11 000 m2 au Jardin d’Acclimatation en 2008, c’est un nouveau coup porté aux loisirs et à la culture pour l’enfance à Paris. En effet, sans subvention de la mairie de Paris, la mort programmée du Musée en Herbe est assurée à très court terme, c’est à dire d’ici la fin du mois de juillet. C’est ainsi faire peu cas d’une expérience pédagogique unique (il n’existe aucune autre sorte de musée consacré ainsi spécifiquement aux enfants en île de France) et de toute son équipe qui se retrouvera du jour au lendemain au chômage.
Le Mouvement Démocrate s’étonne des reproches adressés à la direction du musée par les services culturels de la mairie de Paris : Laurence Engel, Christophe Girard et Bertand Delanoë reprochent au Musée en Herbe d’accueillir un public scolaire de banlieue trop important ! Dans l’optique du Grand Paris, la municipalité devrait se réjouir de ce rayonnement de bon augure qui montre que le Musée en Herbe contribue à l’attractivité de Paris.
Le Mouvement Démocrate rappelle à Bertrand Delanoë, le maire de Paris, que la municipalité ne peut décider unilatéralement de revenir sur une subvention accordée sans en avoir avisé le Conseil de Paris. Les élus démocrates demandent donc au Maire de surseoir à sa décision et de placer la question de la survie du Musée en Herbe à l’ordre du jour du prochain Conseil de Paris.

Pour le Mouvement Démocrate, Marielle de Sarnez, Conseillère de Paris, Béatrice Lecouturier (conseillère du 16ème arrondissement), Robin Delisle (pôle culture du Mouvement Démocrate), Armand Hennon, vice-président du Mouvement Démocrate de Paris.