Paris16info

Message de l'Auditorium Guimet :

6 et 7 mars à 20h30
Auditorium Guimet, 6 place d'Iéna, 75116 Paris

Ces concerts seront diffusés dans l’émission Couleurs du Monde de Françoise Degeorges, sur France Musique, le 11 mars de 20h00 à 22h30.

Huong Thanh, Mieko Miyazaki, Guo Gan et Alex Tran
Chant (Vietnam), koto (Japon), erhu (Chine), percussions

C’est un trio inédit qui nous invite à un voyage sensoriel intense à l’autre bout du monde. Restée fidèle à ses racines, Huong Thanh interprète un répertoire inédit de chants hérités de trois générations du Vietnam. Mieko Miyazaki l’accompagne avec la sensualité de son koto (cythare du Japon), et Guo Gan avec son erhu (vièle chinoise), souligne avec expressivité ces mélodies du grand Orient.
 
La chanteuse Huong Thanh est née à Saigon, d’une famille de musiciens traditionnels renommés. Son père était un des meilleurs chanteurs de Cai Luong, une sorte d’opéra typiquement vietnamien qui marie le chant, la danse et le théâtre. Après avoir participé à de nombreux spectacles de Cai Luong dans toute l’Europe, elle obtient, pour la seconde fois en 2004, le prix Choc du Monde de la Musique. En 2007, elle est la lauréate du prix France Musique des musiques du monde.
 
Mieko Miyazaki est une joueuse de koto (instrument traditionnel japonais importé de Chine au VIIIe siècle) qui s'exprime dans de nombreux styles musicaux, alliant à son esprit japonais une ouverture pour les musiques extra-orientales. De la tradition au jazz, en passant par l’interprétation de ses compositions personnelles, son inoubliable concert en trio à l’auditorium Guimet est encore dans tous les esprits. 
 
Guo Gan est attiré très tôt par l’erhu (il commence à jouer sur scène dès l'âge de quatre ans) et débute son apprentissage auprès de son père, Guo Junming, célèbre soliste de erhu en Chine. Nommé en 1995 professeur du Conservatoire de musique de la province du Liaoning (erhu et percussions), il décide en 2001 de venir à Paris pour étendre ses expériences musicales, se forme aux percussions jazz et développe son art au fil de nombreuses rencontres : Gabriel Yared, Didier Lockwood, Mathias Duplessis…

Auditorium Guimet
Musée national des arts asiatiques - Guimet
6, place d’Iéna – 75016 Paris
Renseignements, réservations: 01 40 73 88 18
Courriel : auditorium@guimet.fr
Site : www.guimet.fr
 
Tarifs des spectacles : 16 € et 10 € tarif réduit pour les membres de la SAMG (Société des Amis du Musée Guimet), les demandeurs d’emploi et les moins de 26 ans.
Métro : Iéna

Retour sur la Mairie du XVIe arrondissement, le nouveau livre d’Hubert Demory co-écrit avec Pierre-Christian Taittinger. Il s’agit en fait d’un ouvrage essentiellement historique, produit de l’immense travail du vice-président de la Société Historique d’Auteuil et de Passy, qui dans le cadre de la rédaction du second opus de son histoire d’Auteuil et Passy, qui couvrira la période de 1860 à la veille de la première guerre mondiale, a, entre autre, dépouillé près de 70 000 comptes rendus du Conseil de Paris à la recherche d’informations inédites sur l’histoire de notre arrondissement à partir de l’annexion des communes d’Auteuil et Passy. L’ouvrage fourmillera d’anecdotes historiques comme par exemple l’incroyable destinée de l’avenue d’Eylau, anciennement avenue du Prince impérial et qui faillit (vous découvrirez la raison en lisant ce livre) prendre le nom d’avenue du Centenaire 1789-1889. Pour en revenir au livre sur la Mairie du 16ème, soulignons le chapitre rédigé par Pierre-Christian Taittinger, 13 pages sur 140, dans lesquelles il nous livre des considérations intimes sur le rôle du maire au travers de ses souvenirs personnels et de son expérience d’élu. Un chapitre qui sonne un peu comme un testament politique, allant du passé au présent, voir même à l’avenir, et qui tranche singulièrement sur l’ensemble de l’ouvrage. Chacun trouvera donc dans ce livre matière à satisfaction, ceux qui s’intéressent à l’histoire de notre arrondissement pour le remarquable travaille d’Hubert Demory et ceux qui se passionnent pour l’histoire politique pour les mots chargés de sens, aucunement gratuits et toujours si parfaitement tournés de l’ancien Maire du 16ème arrondissement.

par Antoine

REGARD
SUR LE CINEMA THAILANDAIS CONTEMPORAIN
 
Février - juin 2009
 
AUDITORIUM GUIMET
Musée national des arts asiatiques
6, place d’Iéna – 75016 Paris
Tél. : 01 40 73 88 18
                                                                Mail : auditorium@guimet.fr
                                                                www.guimet.fr
 

Tarifs des films : entrée libre pour les membres de la SAMG (Société des Amis du Musée Guimet),
les demandeurs d’emploi et les moins de 18 ans. Autre : 4 €
Ou par abonnement (ensemble des projections de chaque cycle) : 25 €
Téléchargez le programme complet de l’auditorium Au fil du Mékong 

9 février à 12h15
Le pensionnat (Dek hor)
Fiction de Songyos Sugmakanan, 2007, 1h50’, VO thaïlandais STF
 
En plein milieu de l’année scolaire, Ton, 12 ans, élève en 5ème, est envoyé par son père dans un pensionnat. A son arrivée, le garçon se sent bien seul au milieu des nouveaux élèves et face à ses nouveaux professeurs. En guise de cadeau de bienvenue, certains camarades lui font peur avec des histoires de fantômes. Mais Ton sympathise avec Wichien, un garçon du même âge, et commence à s'habituer à sa nouvelle école. Pourtant, il ne parvient pas à pardonner à son père de l'avoir envoyé là.

Prix Cannes Junior, Ours de cristal au Festival de Berlin 2007

25 février à 12h15
Le temps du cinéma thaïlandais
Documentaire d’Hubert Niogret, 2006, 56’
 
Largement dominé à ses débuts par la diffusion du cinéma hollywoodien, le cinéma thaï ne démarra vraiment la production qu’en 1927 (Double Luck / Chok Song Chun, de Kun Anurukrathakarn), pour se développer progressivement jusqu’à l’occupation japonaise (1941-45) et reprendre ensuite son élan après-guerre, d’abord en 16mm, puis en 35mm, dépassant même certaines années la centaine de films produits. Les années 70, qui ont vu naître des mouvements d’aspiration démocratique, rapidement écrasés par la dictature militaire, ont vu également surgir le cinéma moderne thaïlandais avec une nouvelle vague de cinéastes. Des directions thématiques apparaissent, qui vont nourrir pendant presque trente ans le cinéma thaïlandais, et qui existent encore aujourd’hui.

4 mars à 12h15
Monrak transistor
Fiction de Pen-ek Ratanaruang, 2002, 1h46’, VO thaïlandais STF
 
Pèn, chanteur amateur, ne rate aucune occasion pour montrer son talent. Lors d'une fête de village, il déclare sa flamme à Sadao. Ils décident alors de se marier rapidement. En cadeau de mariage, Pèn offre à sa femme un petit poste transistor.
Sadao est enceinte de quatre mois lorsque Pèn se voit obligé de quitter la maison pour faire son service militaire. Il participe à un radio-crochet qu'il remporte avec succès et décide alors de déserter pour partir à Bangkok afin d'accomplir son rêve : devenir chanteur.
C’est à la fois un hommage aux chansons populaires, au cinéma thaï des années 60, invisible en dehors de la Thaïlande, et un grand mélo « sucré salé » mâtiné de comédie musicale et de romance amoureuse.

18 mars à 12h15
Last life in the universe (Ruang rak noi nid mahasan)
Fiction de Pen-ek Ratanaruang, 2003, 1h50’,
VO thaïlandais STF
 
D’une part, il y a Kenji, un bibliothécaire japonais expatrié à Bangkok en Thaïlande, plutôt ordonné et carré dans sa vie, malgré quelques tendances suicidaires. D'autre part, il y a Noi, une prostituée, désordonnée et impertinente, qui n'a plus rien à perdre dans la vie, qui habite sur la plage près de Pattaya, dans une maison assez chaotique. Ces deux personnages que tout éloigne l'un de l'autre, vont se rencontrer par le plus grand des hasards.
Coproduction nippo-thaïlandaise, Last life in the universe aime à mettre en parallèle ces deux cultures par le biais d’un face à face entre Kenji, le Japonais, et Noi, la Thaï. Le propos du film est admirablement servi par le travail de photographie de Christopher Doyle (chef opérateur de Wong Kar Wai, Zhang Yimou et Edward Yang).

23 mars à 12h15
Vagues invisibles
Fiction de Pen-ek Ratanaruang, 2006, 1h55’, VO thaïlandais STF
 
Après avoir supprimé l’épouse adultère de son patron sur les ordres de celui-ci, Kyoji, un jeune cuisinier japonais, part se faire oublier en Thaïlande. Sur le bateau qui l’emmène à Phuket, il rencontre Noi, belle jeune femme mystérieuse, qui voyage avec son bébé. Il s’aperçoit bientôt qu’il est suivi et comprend qu’on cherche à l’éliminer…
Construit comme un voyage initiatique et fantasmatique dans les profondeurs de la culpabilité, Vagues invisibles dégage une esthétique glacée propre à la divagation comme à la contemplation.
« L'élément que j'ai ressenti le plus en réalisant Vagues invisibles était la culpabilité du personnage principal (...). J'ai blessé beaucoup de personnes dans ma vie. J'ai agi en lâche de nombreuses fois. Vous savez, la culpabilité du personnage principal ne dure que le temps du film, moi, je dois vivre avec jusqu'à ma mort. » P. R.

1er avril à 12h15
Ploy
Fiction de Pen-ek Ratanaruang, 2008, 1h47’, VO thaïlandais STF
 
Un hôtel à Bangkok…Wit et Dang, mariés depuis sept ans et vivant aux Etats-Unis, reviennent en Thaïlande pour assister à des funérailles. A cinq heures et demie du matin, ils pénètrent dans la chambre 603 pour dormir quelques heures…Pendant ce temps dans le même couloir, chambre 609, Nut le barman a retrouvé secrètement Tum la femme de chambre pour un tête-à-tête résolument plus sensuel…Plus tard, Wit descend au bar pour acheter des cigarettes et rencontre Ploy, une jeune fille de 19 ans. Elle est venue retrouver sa mère, en provenance de Stockholm, qui devrait arriver à l’hôtel vers dix heures et demie. Intrigué et charmé, Wit l’invite à se reposer dans sa chambre en attendant sa mère…
Le couple, la jalousie et ses conséquences, sont au cœur de cette histoire intimiste et sensuelle…

8 avril à 12h15
Les larmes du tigre noir (Fah talai jone)
Fiction de Wisit Sasanatieng, 2000, 1h50’, VO thaïlandais STF
 
Au cours de la guerre du Pacifique, la riche famille de la jeune Rumpoey se réfugie  chez le père du jeune Dum. L'impétueuse fille de la ville et le timide garçon de la campagne nouent une tendre complicité. Ils se retrouvent neuf ans plus tard, alors qu'ils étudient tous deux à Bangkok. Dum est exclu de l'université pour s'être battu. Il promet de travailler dur afin d'épouser sa bien-aimée. Dum retourne à Supanburi et y trouve son père mourant, attaqué par un bandit déterminé à le supplanter comme chef du village. Il décide alors de se joindre au gang local pour venger la mort de son père.
Humoristique, décalé et kitsch, Les larmes de tigre noir mélange diverses influences issues du western et du cinéma populaire thaïlandais des années 60.

24 avril à 12h15
Citizen dog
Fiction de Wisit Sasanatieng, 2006, 1h40’, VO thaïlandais STF
 
Pott a quitté sa campagne natale pour tenter sa chance à Bangkok. Depuis qu'il a trouvé du travail en ville, il pleut des casques de moto, un ours en peluche lui adresse la parole, les personnages d'un roman photo prennent chair sous ses yeux, et surtout, il croise la route de Jinn, ravissante rêveuse, constamment plongée dans un livre tombé du ciel qu'elle est incapable de déchiffrer...

11 mai à 12h15
Blissfully yours (Sud senaeha)
Fiction d’Apichatpong Weerasethakul, 2002, 2h05’, VO thaïlandais STF
 
Roong, une jeune thaïlandaise, est tombée amoureuse de Min, un immigré clandestin birman. Elle paie Orn, une vieille femme, pour prendre soin de Min, pendant qu'elle cherche un endroit où ils pourront vivre ensemble. Un après-midi, Min emmène Roong pique-niquer dans la jungle, où ils se sentent libres d'exprimer leur amour. Orn, de son côté, est également allée dans la jungle avec Tommy, l'homme qui travaille avec son mari. Une overdose de bonheur risquerait-elle d'avoir des effets secondaires ?
Prix « Un Certain Regard » au Festival de Cannes 2002

18 mai à 12h15
Tropical malady (Sud pralad)
Fiction d’Apichatpong Weerasethakul, 2004, 1h58’, VO thaïlandais STF
 
Keng le jeune soldat et Tong le garçon de la campagne mènent une vie douce et agréable. Le temps s’écoule, rythmé par les sorties en ville, les matchs de foot et les soirées chaleureuses dans la famille de Tong. Un jour, alors que les vaches de la région sont égorgées par un animal sauvage, Tong disparaît. Une légende dit qu’un homme peut être transformé en créature sauvage… Keng va se rendre seul au cœur de la jungle tropicale où le mythe rejoint souvent la réalité.
D'après le réalisateur, Blissfully yours serait un film sur sa vision du cinéma, Tropical malady un film sur lui-même et Syndromes and a century un film sur ses parents.
Prix du Jury au Festival de Cannes 2004

27 mai à 12h15
Syndromes and a century (Sang sattawat)
Fiction d’Apichatpong Weerasethakul, 2006, 1h45’, VO thaïlandais STF
 
Fils spirituel asiatique de David Lynch, Apichatpong Weerasethakul signe ici l’un des films les plus inclassables du cinéma mondial. Double hommage à ses parents médecins, évocation de deux êtres, de deux époques et de deux mondes, c’est au fil d’improbables rencontres que Lumières du siècle (titre thaïlandais du film) nous parle de la vie et des relations entre les êtres.
« Si tomber amoureux est une sorte de maladie, alors c’en est une dont nous montrons tous des symptômes. « Century » exprime pour moi l’idée d’aller de l’avant. Un siècle correspond plus ou moins à la durée d’une vie. Je suis intéressé par la manière dont les choses changent avec le temps, et par la manière dont elles restent les mêmes. Il me semble que les sentiments humains restent assez constants. ». A. W.
Inclassable et sans doute incontournable.

Aujourd’hui, jour de la Saint Valentin, fête des Amoureux, j’apprends la publication d’un nouvel ouvrage La mairie du XVIe arrondissement, aux éditions l'Harmattan, par Hubert Demory, un véritable amoureux de l’histoire et de notre arrondissement, par ailleurs vice-président de la Société Historique d'Auteuil et de Passy (SHAP).

Ce livre co-rédigé avec Pierre-Christian Taittinger, ancien Maire du 16ème, durant près de 20 ans, porte justement sur l’histoire de la Mairie du 16ème et au travers d’elle de la création de l’indenté administrative  de l’Arrondissement pour devenir ce que nous en connaissons aujourd’hui. Si Paris ne s’est pas fait en un jour il semble que la municipalité du 16ème non plus...

Je ne manquerai pas de revenir sur cet ouvrage qui devrait, j’en suis sûr, susciter bien des curiosités, dès que je l’aurai parcouru.

Hubert Demory me signale également la parution de l'histoire du jeu de paume de la rue Lauriston : 1908 - 2008 (plaquette d'une cinquantaine de pages) en vente à la Société Sportive du Jeu de Paume et de Racquets, 74 ter, rue Lauriston, 75116 Paris. Téléphone : 01.47.27.46.86

par Antoine

+ d'info sur le site d'Hubert Demory

Depuis les années 1960, dans le sillage du regretté Yves Saint-Laurent, l’uniforme de la Marine est de plus en plus présent dans les défilés de mode. Ce succès s’explique par l’image du marin idéalisé ou fantasmé, véhiculée par le cinéma, la littérature, la bande dessinée…

Cette exposition originale rassemble des pièces rares provenant des collections du musée de la Marine et du conservatoire du commissariat de la Marine à Toulon. L’accent sera mis sur 35 tenues de haute couture, qui seront présentées sur un podium : une sélection de modèles extraordinaires de Jeanne Lanvin à Jean Paul Gaultier, en passant par Chanel, Dior, Givenchy, Yves Saint Laurent et beaucoup d’autres, témoigne de cette influence inépuisable.

En regard du podium, une présentation reprenant le principe des "dressing-rooms" détaille les principales pièces qui composent les uniformes de la Marine et les associe aux vêtements et accessoires qu’elles ont inspirés aux créateurs.

Musée national de la Marine, Palais de Chaillot, 17 place du Trocadéro
Bus : 22, 30, 32, 63, 72, 82
Métro : Ligne 6 - Trocadéro
Ligne 9 - Trocadéro
Du 25 février au 26 juillet 2009, de 10h00 à 18h00 . Fermé le et le 1er mai.

Tarifs de 5 à 9 € .

• Un lecteur assidu de Paris16info et membre du "Réseau de consommateurs témoins"  de la qualité de l'eau de Paris, nous informe des s du bord de Seine :

12 février - Des artistes contemporains parlent de la Seine
5 mars - Le retour des plages en ville
12 mars -  Paris - La grande inondation

Depuis le 5 février, tous les s soirs (sauf vacances scolaires de la zone de Paris) entre 19 h et 21 h, une rencontre se tiendra avec des représentants des différents partenaires de lexposition et des personnes ressources externes.
Les rencontres sont organisées en cycle thématique pour permettre aux visiteurs et aux participants dapprofondir les différents thèmes abordés dans lexposition.
Chaque mois, quatre types de rencontres seront organisées : soirée carte blanche confiée à une personnalité, projection, conférence-débat sur un thème scientifique et conférence-débat sur un thème culturel ou économique.

Consultez régulièrement lagenda en ligne EAU DE PARIS pour connaître les différents sujets et les intervenants.

- le 12 février : Des artistes contemporains parlent de la Seine dans une ambiance de café de la batellerie, Gilles Targat, photographe et Martin Reyna, artiste peintre, évoquent leur attachement à la Seine qui, depuis plusieurs années, représente, pour eux, une source d'inspiration intarissable.
Leurs derniers livres seront présentés.

- le 5 mars, conférence sur le thème "Le retour des plages en ville" animée par Jean-Christophe Choblet, scénographe de Paris Plages et Jean Rieucau, Professeur des Universités, agrégé de géographie.

- le 12 mars, Projection du documentaire-fiction « Paris - La grande inondation » en présence de Gérard Delteil, auteur du roman d'anticipation "L'inondation" qui a inspiré le film et de Bruno Portier, scénariste du documentaire-fiction

Les s, l'exposition "Seine parisienne" est ouverte au public jusqu'à 21 h.

Entrée libre

Inscription au Pavillon de l’eau, au 01.42.24.54.02

• D'autre part concernant l'exposition Seine parisienne :

Du 18 décembre 2008 au 4 juillet 2009
Du au de 10 h 00 à 18 h 00 et
le de 11 h 00 à 19 h 00
avec visites guidées

La Seine constitue un élément incontournable du paysage parisien. A l’origine de la ville, le fleuve nourricier, longtemps exploité mais ignoré, a regagné ses lettres de noblesse. Il a inspiré poètes, peintres, cinéastes, musiciens… Il est tout à la fois source de vie, milieu de vie et espace de vie.
Cette exposition a été réalisée en partenariat avec L’agence de l’eau Seine-Normandie, les directions de la voirie et des déplacement et de la propreté et de l’eau de la ville de Paris, les grands Lacs de Seine, le Port Autonome de Paris, la Parisienne de Photographie, le Service de la Navigation de la Seine et les Voies Navigables de France, le Syndicat Interdépartemental pour l’Assainissement de l’Agglomération Parisienne.
Leur action quotidienne contribue à l’amélioration continue de la qualité de la Seine.

Le Pavillon de l'eau
77, avenue de Versailles -
75016 Paris
Tél : 01 42 24 54 02
www.pavillondeleau.fr

Comment vous rendre au Pavillon de l’eau
RER C – station Javel ( direction Versailles Chantier)
Ligne 10 – station Javel ou Mirabeau
Bus 72, 22 ou 62 – arrêt Mirabeau, bus 88 - arrêt Javel
Station Vélib’ Mirabeau

La clinique médicale et pédagogique Edouard Rist située à Paris (75016) est un établissement spécialisé dans l’accueil de patients adolescents. Elle comporte une annexe de l’Education Nationale leur permettant de suivre leur scolarité et d’être accompagnés par un service socio-éducatif au travers d’activités et de suivis personnalisés.

C’est sous l’impulsion de l’association Les Médecins de l’Imaginaire, qui développe l’art thérapie en milieu hospitalier, et en collaboration avec le service socio-éducatif de la clinique Edouard Rist que se déroulera Place 54 l’Expo du 12 février au 5 mars 2009, dans les laboratoires désaffectés de l’établissement, du au de 13h30 à 18h30.

Assoiffé de rencontres et d’expérimentations artistiques, Hocus Pocus avec On and On Records et Motown France, a laissé carte blanche à un panel d’artistes illustrant les quinze morceaux de Place 54, dernier album d’Hocus Pocus.

Photographes, illustrateurs, peintres, de Wk Interact à Joffrey Ferry en passant par Koa, Siegfried Jegard ou Sophie Toulouse, vous présenteront leur interprétation des morceaux d’Hocus Pocus.

D’abord préambule à l’album Place 54, l’exposition a désormais acquis son autonomie et a sillonné la France jusqu’en juin 2008, proposant les diverses réalisations à la vente dont la totalité des fonds récoltés est reversée à l’association Les Médecins de l’Imaginaire.

Cet événement met en lumière la création émergente suggérant fraîcheur et ludisme, loin de l’académisme et des conventions au service d’un projet ambitieux, poétique et généreux.

En parallèle de l’exposition, les spectateurs pourront découvrir la version 45 tours imaginée par les jeunes patients de la clinique. 

Clinique Edouard Rist 14 rue Boileau (Métro Eglise d'Auteuil ou Michel Ange Auteuil)

+ d'info ici (à écouter !)

Message du centre d'animation Point du jour, 1 à 9, rue du Général Malleterre (Metro Porte de St-Cloud) :

Comment une troupe s’empare d’un texte classique et en propose deux visions : l’une ayant pour décor Paris au XVIIe siècle, l’autre, Los Angeles à la fin du XXe siècle

Une comédie savoureuse qui reste la plus populaire et la plus nerveuse des farces de Molière.

Version Classique
4 février 14h30
5 février 14h30
6 février 14h30 et 20h30

Version contemporaine
11 février 14h30
12 février 14h30
13 février 14h30 et 20h30

Message de l'Auditorium Guimet :

Parthasarathi Desikan
Chant khayâl – Inde du nord
accompagné par Shahbaz Hussain (tabla) et Sudipta Rémy (tanpura)
en coproduction avec l’association Samhati

6 février à 20h30
 
Parthasarathi Desikan a été élevé au sein d’une famille originaire du sud de l’Inde, mais a grandi au son de la musique classique hindoustanie du Bengale. Son odyssée musicale commence auprès de Smt Deepti Mukherjee, un disciple de Pandit Vinayakrao Patawardhan qui était le Grand Maestro du Gwalior Gharana.
Enfant prodige, Parthasarathi participe au Talent Junior program et à l’All Bengal Competition, deux concours qui le placent très jeune sous les feux des projecteurs.
Rapidement, il s’affirme comme l’un des meilleurs chanteurs de sa génération. La manière dont il maîtrise les mélodies les plus subtiles et les variations rythmiques complexes qu’il affectionne démontrent la rigueur de sa pratique, sa profonde persévérance et une créativité intense.
Il se produit dans les plus grandes institutions indiennes de Chandigarh à Madras, de Bangalore à Bombay, de Lucknow à New Delhi. Puis il entame une carrière internationale et chante aux Etats-Unis et dans plusieurs pays européens.
Si la musique classique indienne reste son domaine de prédilection, Parthasarathi s’est aussi essayé à des projets plus expérimentaux qui en disent long sur sa polyvalence et son immense répertoire. Chanteur leader dans le très populaire groupe Rhythmscape, il a enregistré de nombreux morceaux pour leurs albums. Partha a aussi collaboré sur des projets de fusion avec des musiciens d'Inde, de France ou d’Afrique. Il a également prêté sa voix mélodieuse à de très nombreux films bengali ou hindi.
Il sera accompagné sur scène au tabla par Shahbaz Hussain disciple du virtuose Allah Rakha Khan et par Sudipta Rémy à la tanpura.
 
Renseignements - réservations : 01 40 73 88 18
Prix des places : 16 et 10 euros 
 
Auditorium Guimet
Direction artistique : Hubert Laot
Musée national des arts asiatiques
6, place d'Iéna
75116 Paris

Message de la bibliothèque du Trocadéro :

Cycle « Des auteurs, des voix »

17 janvier, à 15h 30 
Rencontre avec Françoise Cloarec et Martin Provost 

A la Bibliothèque Trocadéro

6, rue du Cdt Schloesing - Métro Trocadéro

Entrée libre dans la limite des places disponibles 

La Maison des écrivains et de la littérature (Mel) poursuit son partenariat avec le réseau des Bibliothèques de la Ville de Paris, et propose son « coup de cœur » pour le livre de Françoise Cloarec, Séraphine, la vie rêvée de Séraphine de Senlis (éd. Phébus, 08). Elle s’entretiendra avec Martin Provost , réalisateur de Séraphine, avec Yolande Moreau dans le rôle titre.

A la suite de cet entretien, et en avant-première du DVD qui sortira en mars, sera projeté le Making-Off du film Séraphine (durée 45 minutes), réalisé par Clément Révérend. 

Françoise Cloarec et Martin Provost :

L’exceptionnelle histoire du peintre Séraphine de Senlis 

Née en 1864 dans une famille pauvre d’Arsy-sur-Oise, domestique, Séraphine Louis commence à peindre les fleurs, les vitraux de la cathédrale de Senlis, ses rêves et ses extases. Femme de ménage d’un grand collectionneur parisien, Wilhelm Uhde, elle lui montre ses toiles qu’il va faire découvrir, ébloui, au monde. Il devient son mécène et consacre une grande exposition en 1928 à Paris aux peintres naïfs où les toiles de Séraphine sont exposées. Bercée par des rêves de gloire, emportée par un élan mystique aussi créateur que destructeur, Séraphine perd peu à peu la raison et est internée en 1931. Son sort rejoint celui de Camille Claudel : privée de liberté, de calme, négligée par le personnel soignant, elle s’éloigne peu à peu de la peinture « Ici ce n’est pas un lieu où l’on travaille à l’art » dira-t-elle. Elle meurt en 1942.

Psychanalyste, essayiste, peintre, Françoise Cloarec a rencontré Séraphine à travers l’écriture d’une thèse en psychologie intitulée  Séraphine de Senlis, un cas de peinture spontanée . Elle est l’auteur de plusieurs essais publiés aux éditions L’Harmattan.

D’abord comédien, Martin Provost a réalisé son premier long métrage en 1997  Tortilla y cinéma, suivi, en 2003 par  Le Ventre de Juliette . Ecrivain, il a notamment publié un roman au Seuil Léger, humain, pardonnable (2008). Il a reçu en 2005 le Prix SACD pour son travail d’écriture à France Culture. Il a consulté Françoise Cloarec  au moment de l’écriture du scénario de Séraphine sorti sur les écrans à l’automne 2008 film pour lequel il a obtenu le Prix du Meilleur Scénariste.

La Bibliothèque Trocadéro nous signale la fermeture des bibliothèques de prêt parisiennes en raison du changement de logiciel gérant les établissements entre le 18 et le 26 janvier. Cette fermeture exceptionnelle qui devrait aussi concerner la Bibliothèque Musset (la plus petite de Paris ;-). Voici le communiqué :

Afin de permettre le changement de leur système informatique, les bibliothèques de prêt seront exceptionnellement fermées entre le 18 et le 26 janvier inclus. Tous les prêts en cours seront automatiquement prolongés d’une semaine, sans pénalités supplémentaires. Les réservations (réserve centrale & bibliothèques) seront suspendues à partir du 27 décembre. Les explications de Patrice Salsa, chef de projet pour la réinformatisation des bibliothèques de prêt.

Pourquoi les bibliothèques de la Ville vont-elles fermer du 18 au 26 janvier ?

Commencée en février 2006, l’opération de réinformatisation du réseau des bibliothèques de prêt de la Ville de Paris entre dans sa phase d’exécution. L’heure est donc maintenant arrivée de remplacer le système informatique général du réseau des bibliothèques de prêt, qui date de 1989, avec pour conséquence directe la fermeture de toutes les bibliothèques de prêt du 18 au 26 janvier inclus (en plus de la fermeture habituelle du /). Par contre les bibliothèques spécialisées resteront ouvertes (bibliothèque du cinéma François Truffaut, médiathèque musicale, bibliothèque du tourisme et des voyages de Trocadéro, bibliothèque historique, L’Heure joyeuse…). Une belle occasion pour les découvrir !

Qu’est ce qui va changer ?

Ce changement va réduire les délais de traitements des documents – lors de l’emprunt ou du retour -, diminuer ou supprimer des tâches de saisies multiples pour les bibliothécaires. Plus de 700 bibliothécaires sont déjà formés à ce nouveau système informatique. La réservation sera aussi plus rapide !

Jusqu’à quelle date les usagers pourront emprunter des livres ?

Jusqu’au 17 janvier inclus (seulement jusqu’au 27 décembre pour la réserve centrale). Et bien sûr, à nouveau dès le 27 janvier !

Quelles sont les grandes évolutions attendues en 2009 ?

Le nouveau portail permettra de réaliser des opérations en ligne depuis Internet ou depuis un poste en bibliothèque (prolongation, réservation, gestion des informations personnelles du compte d’usager, personnalisation des informations sur l’actualité des nouveaux documents disponible). 350 nouveaux postes informatiques ont été mis en place en 2008. Le système multimédia continuera donc à être installé dans les bibliothèques, pour atteindre 600 postes en juillet 2009. Dès février 2009, plusieurs discothèques proposeront, grâce à ce système, l’écoute gratuite sur place d’une partie de leurs CD, tandis que d’autres établissements offriront des sessions d’autoformation, notamment pour l’apprentissage des langues.

Message du Centre d'animation Point du Jour, 1 à 9 rue du Général Malleterre (Métro Porte de St-Cloud) Tél : 01 46 51 03 15 :

M2C - Musique Coup de Coeur
Le 15 janvier 2009 à 20h30
Salle de Spectacle du Point du Jour
avec LISA PORTELLI, LILISTER, et VINCENT ET ELSA LENDOWER
Entrée 3 € - Réservation recommandée

16 janvier à 20h30 - Auditorium Guimet, 6 place d'Iéna, 75116 Paris

Sudeshna et Nabankur Bhattacharya
Sarod et tabla (Inde du nord)
 
C'est au sein de l’ensemble Calcutta Chandra que S & N Bhattacharya, deux jeunes virtuoses formés à l’école des plus grands maîtres de la musique classique indienne, firent leurs premières apparitions en France en 2003.
Ce duo, issu d’une des plus anciennes traditions de l’Inde du nord, exprime à travers rythmes et mélodies une multiplicité de sentiments.
Leur musique minutieuse et complexe, basée sur un système modal, s’épanouit dans l’improvisation.
Sudeshna pratique depuis l’âge de 4 ans le sarod (du mot persan sarood qui signifie « douceur »), instrument à cordes pincées.
D’abord initiée par son père Sri Krishna Mohan Bhattacharya, elle devient dès l’âge de 10 ans, disciple du très grand Ustad Amjad Ali Khan.
Sa qualité de jeu reflète toute l’essence du sarod, et sa magnifique habilité à composer et à improviser fleurit en de nombreuses occasions.
Quant à Nabankur, issu d’une famille très respectée de Calcutta, c’est au tabla (dayan et bayan) qu’il se distingue.
C’est à l’âge de 5 ans que son oncle Shri Damarupani Bhattacharya et son frère aîné Shri Trinankur Bhattacharya lui donnèrent ses premières leçons. Puis son apprentissage à été confié à Pandit Anindo Chatterjee, célèbre joueur de tabla de renommée internationale.
La valeur esthétique du  jeu de Nabankur, tendre et sobre, réside dans l’abondance de ses modulations de son.
Deux Bhattacharya pour un concert unique et envoûtant.
 
 
Renseignements, réservations : 01 40 73 88 18
Prix des places : 16 et 10 euros
Réservations FNAC
 
Auditorium Guimet
Direction artistique : Hubert Laot
Musée national des arts asiatiques
6, place d'Iéna
75116 Paris

Il vous attend pour vous faire trembler de peur, ce soir, à Janson de Sailly !

Message de la Bibliothèque du Trocadéro :

Savez-vous que plusieurs Roumains issus de la diaspora sont enterrés au cimetière de Passy ?

Néanmoins ils sont encore vivants à la bibliothèque Trocadéro située juste à côté où vous pourrez emprunter les livres de Virgil Gheorgiu notamment. 

Jean-Yves CONRAD, écrivain spécialiste de l’histoire roumaine fera une présentation des sépultures roumaines du cimetière de Passy lors de la rencontre consacrée à la Roumanie aujourd’hui, à la bibliothèque Trocadéro (6 rue du commandant Schloesing) le 18 décembre à 18h30.

Message de l'association Gaïane :

Association Gaïane loi 1901

VENEZ NOUS RETROUVER ON VOUS ATTEND !

Un seul geste d’abord : TELEPHONER

RV devant le 6 Place des Vosges à 13h15 20 DECEMBRE 2008

- Visite de la maison où Victor-Hugo a vécu de 1832 à 1848 Avec guide audiophone

- Promenade Place des Vosges. Histoire de l’une des plus belles places de Paris  

Association Gaïane – 14 av. René Boylesve 75016 Paris Gaiane16@yahoo.fr

Tél : 06 89 69 23 15  /  06 09 75 33 15

6 décembre, de 14h30 à 18h30, comme chaque année, la Mairie du 16ème accueille, dans ses salons, une centaine d'auteurs venus à la rencontre de leurs lecteurs. Le produit de la vente des ouvrages se fera au profit des Œuvres Hospitalières Françaises de l’Ordre de Malte. L'entrée est libre et si vous venez accompagné de jeunes enfants (de 2 à 8 ans) ceux-ci seront pris en charge par l'espace loisirs (lectures de contes, jeux, goûters...), une bonne initiative pour les parents lecteurs ;-)

Mairie du 16ème arrondissement, 71, avenue Henri Martin (Métro Rue de la Pompe)

par Antoine

Le Centre d'animation Point du Jour nous informe :

Dans le Cadre de la semaine de l’égalité, le Centre d’animation Le Point du Jour accueillera le 5 décembre 2008 à 19h30 une soirée spectacle Match-d’Improvisation autour de la lutte contre les discriminations.

ENTRÉE GRATUITE
Réservation au 01 46 51 03 15

CENTRE D'ANIMATION LE POINT DU JOUR
1 rue du Général Malleterre 75016 PARIS
Tél. : 01 46 51 03 15

www.actisce.org

Le Musée Galliera, 10, avenue Pierre 1er de Serbie (Métro Iéna ou Alma Marceau) consacre une exposition originale à l’habit féminin sous l’impératrice Eugénie du 29 novembre 2008 au 26 avril 2009.

"Le buste court, la taille haute sous une longue et volumineuse jupe posée sur une crinoline, c’est la silhouette caractéristique du second Empire, celle de l’impératrice Eugénie et des femmes conviées aux bals mondains ou aux excursions à la campagne. La seconde moitié du XIXe siècle est en effet synonyme d’une vie sociale beaucoup plus active pour les dames, et donc d’une garde-robe adaptée. C’est cette évolution de la mode que le visiteur est invité à découvrir au fil d’un parcours initiatique : l’exposition s’ouvre sur une scène de bal où sont présentées quelques pièces ayant appartenu à l’impératrice Eugénie et à la princesse Mathilde. La visite vous entraîne ensuite à l’époque des grands magasins en plein essor (Aux Trois Quartiers, Au Bon Marché), dans un Paris qui devient capitale du luxe et de l’élégance, symbolisé ici par une admirable collection de joaillerie (Boucheron, Cartier…)."

par Delphine

+ d'info sur la page dédié de Paris.fr, attention le Musée est fermé le .

L'association pour la musique et la culture à Janson de Sailly (ACMJS) organise,   11 décembre prochain, un "ciné-concert" avec la projection du film Nosferatu de Murnau de 1922 accompagné de la création d'une musique d'Anaïs Lozac'h, compositrice, avec la participation de l'orchestre symphonique de Janson. Cette manifestation aura lieu au lycée Janson de Sailly, 106 rue de la Pompe (Métro Rue de la Pompe), Salle Clermont, à 20h00, et l'entrée est libre.

par Antoine

Message de l'Auditorium Guimet :

12 décembre à 20h30
Auditorium Guimet, 6 place d'Iéna, 75116 Paris

Ling Ling Yu et Henri Tournier
Pipa – flûtes, octobasse, bansuri
Rencontre
 
Ling Ling Yu est sans nul doute l’une des plus grandes virtuoses actuelles du pipa (luth chinois).
Née à Hangzhou (sud est de la Chine), point de départ de la route de la soie, elle embrasse la musique à l’âge de 8 ans puis, après de brillantes études au Conservatoire National de Chine, entame très jeune une carrière internationale.
Disciple du grand maître Dehai Liu, elle devient professeur de musique à l’Université Qing Hua de Pékin, puis se décide à explorer les liens entre la musique orientale et occidentale. Elle se produit dans deux nombreux ensembles de musique traditionnelle ou contemporaine comme l’ensemble ETC ou l’ensemble Dragon.
Ce duo avec le flûtiste Henri Tournier, musicien se réalisant tout autant dans la recherche musicale contemporaine que dans la musique classique de l’Inde, constitue une rencontre inédite.
Duo insolite et improbable où les sonorités raffinées et dynamiques du luth chinois se mêlent à la palette de couleurs des flûtes et du bansuri de l’Inde, ainsi qu’au grave ténébreux de l’octobasse.
Au répertoire traditionnel que présentent Ling Ling Yu et Henri Tournier, s’ajoutent des pièces traditionnelles « revisitées » faisant se rencontrer les instruments et musiques de la Chine et de l’Inde, ainsi que des improvisations et compositions résolument tournées vers la création contemporaine.
 
Renseignements, réservations : 01 40 73 88 18
Prix des places : 16 et 10 euros 

Message du centre d'animation Point du jour, 1 à 9 rue du Général Malleterre (Metro Porte de St-Cloud) :

Premières Scènes Musicales

Le 20 novembre 2008 à 20h30

Salle de Spectacle du Point du Jour

JE RIGOLE
Chanson française

BEN1
French Pop Acoustique

BOTANYSTA
Hip Hop / Jazz / Reggae

Entrée 3 € - Réservation recommandée au 01 46 51 03 15

Rencontres Internationales de l'Eau et du Cinéma 22 et 23 novembre 2008.

Dans le cadre des 2e Rencontres Internationales «Eau et Cinéma» (RIEC) qui se dérouleront à Istanbul en mars 2009, le Pavillon de l'eau vous propose de venir découvrir des films et reportage durant deux jours. Projections gratuites, entrée libre dans la limite des places disponibles.

Le 22 novembre

• 14h00 Sawadi Pinaï, 15' et intervention de la réalisatrice
• 14h30 Carpa Diem, 2'
  À la manière d’une publicité, Sergio Cannelle nous montre en 2 minutes 2 regards différents sur l’eau : le monde développé et le monde du Sud. D’une façon subtile, il nous lance un message sur l’importance d’économiser l’eau et sa nécessité pour toute forme de vie.
• 14h35 Cuentos Celestes, 12'
  La lune, le soleil et les nuages flottent tranquillement dans le ciel au-dessus de divers horizons : la ville, la mer, les montagnes…
• 14h50 Spots RIEC, vidéo Eau 2007 et 2008, 15'
  Présentation de spots vidéo : Attention à l’eau, Ni même pour un verre, 8 secondes, Prends conscience, Eau, Parapluie ; gagnants des premières Rencontre Internationales « Eau et Cinéma » Mexico 2006. Ô, Terre Sang Eau, Gaspillage à sens unique ; gagnants de la première édition du Festival VidéEau au Québec en 2007.
• 15h10 : Delta du Nil : La fin du miracle  43’et intervention du réalisateur Luc Riolon
• 16h45 Au delà de l'eau, 50' et intervention du réalisateur Didier Bergounhoux
  Ce film nous plonge au cœur du Sahel, dans des villages aux frontières du Burkina Faso, du Mali et du Niger. Ici la rareté des pluies rend l’agriculture très difficile et réduit le cheptel.

Le 23 novembre

• 14h00 Sunderbans les îles du silence, 56' et intervention de la réalisatrice Isabelle Millard ou du producteur Paco Fernandez
  Personne ne s’aventure dans les îles du silence, au large du delta du Gange, car c’est le ventre de l’enfer, dit-on à Calcutta. Terrifiés par les féroces tigres mangeurs d’homme, les crocodiles et les cobras, les oubliés de l’archipel des Sundarbans y survivent pourtant...
• 15h15 Mexico, une soif impossible à étancher ? 26' et intervention du réalisateur Nicolas Montibert.
• 16h : Sel de la Terre (59’)  de Bernard Surugue
  La liste des films est susceptible d’être modifiée, actualisation quotidienne.

Le Pavillon de l'eau
77, avenue de Versailles -
75016 Paris
Tél : 01 42 24 54 02
www.pavillondeleau.fr

Comment vous rendre au Pavillon de l’eau
RER C – station Javel ( direction Versailles Chantier)
Ligne 10 – station Javel ou Mirabeau
Bus 72, 22 ou 62 – arrêt Mirabeau, bus 88 - arrêt Javel
Station Vélib’ Mirabeau

Message de l'Auditorium Guimet :

21 et 22 novembre à 20h30
 
Eiko Hayashi
Nihon Buyô - danse du Kabuki
accompagnée par Nobuko Matsumiya (koto)
et Fumie Hihara (koto, shamisen)

Le Nihon Buyô, au sens littéral  "danse japonaise", découle principalement de la danse du Kabuki, forme épique du théâtre japonais traditionnel, datant de l'époque d'Edo.
Les pièces classiques du Nihon Buyô appartiennent d’ailleurs au répertoire du théâtre Kabuki, dont les acteurs étaient exclusivement masculins.
Ce genre, souvent spectaculaire, se caractérise par la complexité de ses codes esthétiques et la beauté somptueuse de ses costumes. La fluidité dans la succession des mouvements,  suggère élégance, raffinement et maîtrise de l’émotion.
Formée dès son enfance au Nihon Buyô, Eiko Hayashi obtient son titre de maître (Natori) à l’âge de 18 ans. Puis ses études l’emmènent en Allemagne et lui permettent de présenter son art à un public européen. Au fil de ses nombreuses expériences chorégraphiques, elle cherche à confronter danse japonaise et musique occidentale n’hésitant pas à s’exprimer sur Bach, Bartók ou Josquin des Prez…, mais revient toujours aux racines de la danse traditionnelle du Kabuki.
Elle sera accompagnée, pour ce spectacle inédit par deux virtuoses de la musique traditionnelle du Japon : Nobuko Matsumiya (chant, koto), fondatrice de l’ensemble Sakura, et sa complice Fumie Hihara (koto, shamisen).
Un récital composé de pièces des XVIIe, XVIIe et XIXe siècles, qui se clôt sur la célèbre œuvre du Kabuki Musume-Dojji. « Les feux de l’amour et la haine mêlés firent fondre la cloche avec celui qu’elle aimait. »     
 
Renseignements, réservations : 01 40 73 88 18
Prix des places : 16 et 10 euros
 
Auditorium Guimet
Direction artistique Hubert Laot
Musée national des arts asiatiques
6, place d'Iéna
75116 Paris

Message de la Compagnie des Hauts de Scène :

Madame, Monsieur,
 
certains d'entres vous nous ont fait la joie d'assister à notre précédent spectacle, Signé Pierre Dac, et nous-les en remercions.
 
A compter du 28 novembre 2008, la Compagnie des Hauts de Scène récidive dans l'humour et la comédie pour quatre représentations à l'Espace Landowski en plein coeur de Boulogne avec son nouveau spectacle, Le béret de la tortue de Jean Dell et Gérald Sibleyras, les auteurs de Un petit jeu sans conséquence.
 
Plusieurs associations du XVIe arrondissement ont déjà manifesté leur intention de venir assister au spectacle et nous vous invitons comme elles à profiter du tarif réduit qui leur est réservé à seulement 10 euros.

Le béret de la tortue

Vacances entre amis, vacances pourries !
Trois couples d'amis louent une villa pour les vacances dans le sud de la France.
Très vite l'ambiance se rafraîchit.
Chaque couple critique ses voisins
dans l'intimité de sa chambre à coucher.
Le dernier soir sonnera l'heure du règlement de comptes...
Venez goûter à ce délicieux séjour estival et
"lever votre verre aux pires vacances
que vous ayez jamais passées..."

Le 28 novembre 2008 à 21h
Le 29 novembre à 16h et à 21h
Le 5 décembre à 21h
Espace Landowski
28, avenue André Morizet
92100 BOULOGNE
Métro Marcel-Sembat ou Jean-Jaurès

TARIF ASSOCIATIONS XVIe arr. = 10 euros au lieu de 15.
Réservations et Informations:
www.hautsdescene.fr
 ou 06.81.95.96.92
Billets en vente également dans réseaux FNAC et Carrefour

Excellent spectacle à tous. Merci pour votre attention.
 
Laure Compain et Nathalie Trégouët
Novembre 2008
Compagnie des Hauts de Scène
27, rue de Paris 92100 Boulogne
Licence professionnelle n°2-1002849

Message de la Bibliothèque du Trocadéro, 6 rue du commandant Schloesing (Métro Trocadéro) :

29 novembre, 15h30 :

Spectacle burlesque, Monsieur Jean et Madame Jeanne, avec Dominique VIGNAUX et Hassan TESS.

Deux personnages burlesques dans deux univers différents se donnent en spectacle le 29 novembre à 15 h 30 à la bibliothèque Trocadéro.

Mr JEAN dans des histoires de l’auteur roumain Matei VISNIEC tirées de « Théâtre décomposé ou l’homme-poubelle »:
Un humour singulier, une dose de grotesque…
On oscille entre réalisme et absurde !
Mme JEANNE dans des histoires de Alphonse ALLAIS (extraites notamment de « Allais…grement » et « Plaisirs d’humour »). Fantaisie légère qui, fréquemment vire à l’humour noir.
Quand France et Roumanie se rejoignent autour de l’humour !

Entrée libre

Message du centre d'animation Point du Jour :

Un équipement flambant neuf et doté d’une salle de spectacle. Son identité est fondée sur les arts du spectacle, la musique, le multimédia et les arts plastiques. «Le Point du Jour», c’est également l’antenne Mesnil Saint-Didier située dans le nord de l’arrondissement et ouverte aux associations locales. Fort de sa première année de fonctionnement, le centre et son antenne sont des lieux de pratiques artistiques ouverts à tous, des lieux de rencontres culturelles, d’échanges, de détente et de convivialité.

C’est le concours de chacun qui régie les festivités, les projets et les animations du centre. Le thème de l’année pour toutes les activités s’intitule « Mon 16ème à moi »; chacun racontera son quartier et sa propre histoire dans l’arrondissement, en peinture, en musique, en danse, en théâtre…

C’est avec la synergie et la participation de tous, qu’évolue la structure en apportant la solution la plus appropriée au besoin de chacun. C’est pour cela que sont proposés, tout au long de l’année, un large panel d’activités mais également des stages pendant les vacances scolaires ou encore, des rencontres ponctuelles, des soirées, des spectacles, des concerts et des expositions qui donnent vie au centre.

L’accent sera mis cette année sur les actions en faveur de la jeunesse avec la mise en place d’un Point Information Jeunesse qui offrira un accompagnement spécifique dans les démarchesde la vie quotidienne (emploi, orientation, information) et dans l’élaboration de projets artistiques. Les jeunes artistes, musiciens, comédiens, danseurs, pourront se produire,sur scène, pendant les soirées “Cabaret”. Les groupes de musique trouveront, un lieu de travail, de la répétition au studio d’enregistrement en passant par la scène. L’espace d’expositionaccueillera également les projets des jeunes plasticiens. Egalement sensibles aux notions fondamentales de l’environnement, nous nous efforçons de mener l’ensemble denos actions en ce sens, en banalisant les gestes écocitoyens.

INFOS PRATIQUES :

   Centre d'animation Le Point du Jour (association Actisce)
   Adresse: 1 à 9 rue du Général Malleterre
   Tel: 01.46.51.03.15
   Accès: Métro : Porte de Saint-Cloud ligne 9 Bus PC1, 22,62,72

Télécharger la brochure des activités 2008-2009

Antenne Mesnil Saint-Didier
25 rue Mesnil 75116 Paris
Tél : 01 47 55 82 71
Courriel : capointdujour@actisce.org
Métro : Victor Hugo ligne 2, Boissière ou Trocadéro ligne 6
Bus: 22, 30, 52, 82

Au centre d'animation Point du Jour vous trouverez aussi :

Un Point Information Jeunesse :

Projet Jeunesse, Orientation, Formation, Emploi, Espace numérique…

et de 17h à 21h et et de 13h à 18h

Des spectacles :

• OULAK, spectacle de grandes marionnettes pour les enfants de 3 à 10 ans

• UNE PARISIENNE À BROADWAY, comédie Musicale - Tout Public

Des stages informatiques :

Des stages pour adultes et seniors pour découvrir l’informatique et Internet, s’initier aux pratiques courantes, se perfectionner et découvrir de nouveaux usages. Télécharger le programme des stages.

Un studio d'enregistrement :

Ateliers de création sonore, d'enregistrement, de composition, de montage, mixage, traitement du son, enregistrement de voix, bande son, etc...

• STAGES JEUNES - 14/26 ANS

Vacances scolaires de 10h à 13h et de 14h à 17h

du 27 au 31 octobre 2008

du 16 au 20 février 2009

du 14 au 18 avril 2009

du 6 au 10 juillet 2009

Du 8 novembre au 27 juin

les s de 14h à 18h

Consultez nous pour connaître le descriptif de chaque stage

• STAGES ADULTES

les s soir de 18h30 à 21h30

13, 20, 27 novembre et 4, 18 décembre 2008

8, 15, 29 janvier et 5, 12 février 2009

12, 19, 26 mars et 2, 9 avril 2009

7, 14 mai et 11, 18, 25 juin 2009

Message de la Bibliothèque du Trocadéro 6 rue du commandant Schloesing (Métro Trocadéro) :

Du 12 novembre au 20 décembre : hiver roumain à Trocadéro

Dans le cadre de la saison culturelle européenne liée à la présidence française de l’UE, la bibliothèque Trocadéro met en valeur la Roumanie, dernier entrant dans l’Union, pays francophone, pays francophile pourtant méconnu.

Animations organisées en partenariat avec l’institut culturel roumain, l’ambassade de Roumanie et Paris-bibliothèques

Deux expositions :

-    -     Les odeurs de Bucarest, exposition de photos de Dan Hayon

Né à Bucarest en 1947, Dan Hayon quitte la Roumanie en 1972 et s’installe à Paris en 1993. Il y a longtemps, il a fait vœu d’anonymat, mais il l’a rompu en février 2006, lorsque l’Institut Culturel Roumain de Paris l’a invité à exposer une rétrospective de son travail photographique des 35 dernières années.

Dan Hayon est spécialement attiré par la synergie entre la photographie et la littérature. L’Institut Culturel Roumain de Bucarest a ainsi publié le recueil "Les odeurs de Bucarest" avec le texte intégral de la poétesse Magda Carneci dans une double édition bilingue (français roumain et anglais roumain).

 « Les Odeurs de Bucarest » sont une série de 14 photographies soulignées de textes représentant des aspects pittoresques, baroques et populaires de la capitale roumaine. D’un amas de câbles électriques, d’une partie d’échecs organisée dans la rue, Dan Hayon tire des images empreintes d’une nostalgie tendre et simple.

-         Autour d’Isidore Isou, fondateur du lettrisme

Poète, peintre, cinéaste, philosophe mais aussi économiste franco-roumain, Isidore Isou (1925-2007) est le fondateur dans la deuxième moitié du vingtième siècle du Lettrisme, mouvement artistique d’avant-garde. Il en donne une définition en 1947 dans Bilan lettriste : «Art qui accepte la matière des lettres réduites et devenues simplement elles-mêmes (s'ajoutant ou remplaçant totalement les éléments poétiques et musicaux) et qui les dépasse pour mouler dans leur bloc des œuvres cohérentes. »

Provocateur fou pour les uns ou génie créatif pour les autres, Isou a contribué à créer une œuvre qui ne laissera personne indifférent, pour peu qu’il sorte de l’oubli.

Cela sera peut être chose faite grâce à cette exposition de peintures d’Isidore Isou mais aussi d’ouvrages autographes prêtées par François Poyet, membre également du mouvement lettriste.

Des visites guidées conviviales auront lieu les 22 novembre et 13 décembre à 15h30 où François Poyet  détaillera les origines et les buts de ce mouvement mystérieux qu’est le lettrisme avec de nombreuses anecdotes.

En plein débat urbanistique sur le réaménagement de la Porte d’Auteuil et du sud de l’arrondissement, la question de la prolongation du tramway des maréchaux jusqu’à la gare d’Auteuil, enterré par la défaite la candidature de Paris pour les JO 2012, se pose à nouveau. Comme un clin d’œil de l’histoire, Alphonse Loubat, inventeur du premier tramway parisien, installé dans le 16ème, refait parler de lui sur Paris16info à la faveur de deux commentaires sur un article de… novembre 2006 consacré au cimetière de Passy !

Caveau Loubat Passy. ph. Hubert Demory 11.2005.jpg 

J’apprends que j'ai un ancêtre enterré à PASSY et j'aimerais savoir si le tombeau est toujours présent.
Il s'agit de LOUBAT Joseph-Alphonse (1799-1866) qui était initiateur des tramways à chevaux de New-York en 1852.

Il reposerait avec sa femme GAILLARD Suzanne Elizabeth et leurs deux enfants.

Ecrit par : LAURENT | 27.09.2022

Bonjour,

Mon ami Yves Boutry m'a informé de votre question.

Je travaille depuis plus de 15 ans sur l'histoire le personnage très intéressant d'Alphonse Loubat. Parmi beaucoup d'autres choses, Alphonse Loubat fut l'inventeur du tramway en France (Paris) à partir de 1852-1853 et non à New-York comme une légende propagée par le Larousse à partir de 1900 le fait croire.

Effectivement Alphonse Loubat est aujourd'hui enterré dans le caveau familial après une étape précédente à Chaville au cimetière de Passy avec sa femme et ses deux enfants.

Alphonse Loubat habite jusqu'à la fin de ses jours dans sa résidence principale du 10 rue Mogador, Paris 9e. Il reste fidèle aux environs de Sèvres -où il habita, y construisit le château des Bruyères, future maison de la famille Girod et de Gustave Eiffel (détruite mais dont le parc existe toujours), et fut maire (1854-1858)- puisqu’il meurt le 10 septembre 1866, à l'âge de 67 ans, "en sa demeure momentanée" 29 rue Thierry à Ville d'Avray, chez son ami Thomas Albrecht , marchand domicilié 325 rue Saint-Honoré à Paris, à quelques numéros de la première habitation parisienne d'Alphonse Loubat, et Consul de Saxe. Thomas d'Albrecht est décédé un an plus tôt.

Le New York Times du 14 octobre 1866 rend hommage à Alphonse Loubat : "Extrêmement intelligent, bien informé grâce à ses voyages, il parlait de manière très claire et efficace. Ses relations avec les personnes de la haute société étaient connues. Il était très respecté tant ici qu'à Paris pour ses qualités de tête et de cœur".

Alphonse Loubat sera enterré à Chaville au côté de sa fille Thérèse-Aimée de Pechpeyroux de Comminges, dans le caveau familial de la chapelle du Sacré-Cœur de l’église de Chaville (aujourd'hui détruite) qu’il a fait construire en 1856.

Le fils d'Alphonse Loubat, Joseph-Florimond, duc de Loubat, achète en 1883 une concession au cimetière de Passy, non loin de chez lui (place du Trocadéro). Joseph-Florimond y fait inhumer sa mère, Suzanne Gaillard. Il y fait transférer les cendres de sa sœur et de son père depuis la chapelle de l’église de Chaville le 12 septembre 1885. Alphonse Loubat, sa femme et leurs deux enfants y sont ainsi aujourd'hui réunis. Cette concession à perpétuité est située n°160. 17re division. 7e ligne sud. N°10 par l’est. N° cadastral 130.

Si cela vous intéresse, je dispose des photos prises par Hubert Demory que ej peux vous envoyer par mel.

Par ailleurs, je serai très intéressé d'entrer en contact avec vous. Quel degré de parenté avez-vous avec Alphonse loubat, celui-ci n'ayant à notre connaissance eu que deux enfants sans descendance. Etes-vous descendant du frère d'Alphonse Loubat ou de la branche Gaillard... ?

Ecrit par : Yann Fradin | 25.10.2022

Si vous souhaitez en savoir plus sur Alphonse Loubat, Yann Fradin a bien voulu nous permettre de diffuser ce résumé. Une prochaine fois Yann nous parlera de Gustave Girod (1832-1892) qui fut maire du 16e (de 1871 à 1880) au milieu de la période Henri Martin (son nom est dans l'entrée de la mairie), ami de Thiers et engagé dans les troupes de Thiers contre la commune, dirigeant du Comptoir d'escompte de Paris (qui est devenu la BNP), propriétaire après Loubat et avant Eiffel du château des Bruyères à Sèvres...

Mais aussi, il reviendra, dans un tout autre domaine, sur l'action du chantier d'insertion qu'il dirige et qui, dans notre arrondissement entretien la promenade-nature Auteuil-La Muette.

Maintenant une question demeure comment ce fait-il qu'une rue de Paris ou qu'un arrêt du tramway ne porte pas le nom d'Alphonse Loubat ?

Message de la Bibliothèque du Trocadéro, 6 rue du commandant Schloesing :

8 novembre, 15h00 :

Deuxième rencontre du partenariat Maison des écrivains et de la littérature et bibliothèque Trocadéro :

Intervention/interventions : écrivains et société, quelles interactions ?

Rencontre avec Catherine Lépront et François Salvaing

La Maison des écrivains et de la littérature (Mel) poursuit son partenariat avec le réseau des Bibliothèques de la Ville de Paris, et propose, dans le cadre des réflexions menées lors des colloques intitulés « Littérature : les enjeux contemporains » qu’elle a organisés à Paris en 2007 et 2008, une  deuxième rencontre littéraire à la Bibliothèque Trocadéro.

Catherine Lépront et François Salvaing : Inventions/Interventions

Il s’agira, au cours de cette rencontre, de poser les questions de l’invention de la langue et de l’intervention de l’écrivain dans le monde et dans le champ social, politique et intime.

Catherine Lépront est issue d’une famille de médecins et de musiciens, elle a été infirmière, puis elle a travaillé comme dramaturge, scénariste et critique. Essayiste et romancière, son œuvre est principalement éditée chez Gallimard et au Seuil.  Au Seuil, en 2007, Entre le silence et l’œuvre, Esther Mésopotamie, Des gens du monde (2005) ; aux éd. Inventaire/Invention, deux récits, Lou (01) et  Amparo (06). Son univers romanesque s’inscrit dans une réflexion sur la société et ses mœurs. Son dernier ouvrage, Disparition d’un chien, poursuit cette réflexion sous la forme d’un polar atypique qui porte un regard plein d’humour, poétique et politique sur notre monde.

François Salvaing est né en 1943 à Casablanca, Maroc. Il a fait du théâtre et du journalisme. Il a publié une vingtaine de livres, fictions pour la plupart. Dans les livres de François Salvaing, il est souvent question d’Histoire, suivant l’idée implicite que les hommes la font, si humbles soient-ils, et qu’elle les fait, si libres qu’ils se veuillent. Il a notamment publié Misayre ! Misayre ! (Prix du Livre Inter 1988 – en Folio/Gallimard), La Nuda (1994, réédition en 2008 chez Fayard), La Phrase (éd. Mille et une nuits, 2006), Un alibi de rêve (Cadex, 2007) et, en janvier 2008 chez Fayard, Maud & Matilda.

Entrée libre !